Del’autre côté, c’est un soulagement d’avoir trouvé la source», a lancé le paternel. «C’est une trahison tellement grande. Pour ma fille, pire que pour nous», a renchéri Mme Vincent. «Tu penses connaître quelqu’un,
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Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air à ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageInvitéInvitéSujet C'est reparti pour un tour... Mer 31 Oct 2007 - 2029 [ RP libre - 1er post pour Liz ]Dean - JOHN !Allongé sur le dos dans son lit, un sourire aux lèvres, Johnny Dean Corso ne bougea pas d'un pouce. Oui, il était éveillé. Oui, il avait entendu son père. Et oui, il avait envie de le faire chier. Pourquoi ? Oh, par simple plaisir. Parce-que celui-ci, depuis qu'il était avec sa nouvelle compagne, essayait de la jouer autoritaire. Mais... Dean Corso n'avait jamais été doué pour jouer son rôle de père. Ce qui se répércutait sur le comportement de son fils... Paumé, on aurait dit que Dean n'avait jamais vraiment compris ce que c'était que d'élèver un gosse, et désormais un ado. Très souvent absent, il n'avait jamais eu de contrôle sur son fils rebel. Ce n'était pas maintenant que cela commencerait... Et surtout pas pour faire bonne figure devant Liz et sa mère. C'est donc, tranquillement allongé, les bras croisés derrière sa tête et une clope entre les doigts que John écoutait la voix mélodieuse de son cher - JOHN !John - Allez, encore un coup...Ricana le jeune Serpentard, tirant une taffe. La musique s'élevait doucement de sa radio. C'était un bon rock, comme il les - JOOOHN ! C'EST LA DERNIERE FOIS !John tourna paresseusement la tête vers son reveil. Il était 0830. Voila une demi heure qu'il devait être debout, étant donné que le train partait à 0900. Mais il fallait se lever... Ils iraient à la gare en voiture. Heureusement, ils n'habitaient pas loin de la gare... Rester trop longtemps dans un habitacle si petit avec son père lui donnait la nausée. Grognant à l'idée de se lever, il chercha à tâton sa baguette magique, posée sur sa table de chevet. une fois en main, il agita négligemment sa baguette, et sa fenêtre s'ouvrit en bruit mat. D'une pichnette, il jeta sa clope au dehors. Son père l'appela de nouveau. Soupirant, il se leva. Il avait la flegme... et pourtant, mourrait d'envie de retourner au chateau. Oh non, ce n'était pas pour les cours, quelle drôle d'idée... Non, c'était pour être de nouveau dans son élément L'école voulait dire Roy, Claire, Atreus, désormais Liz, et Key... Ainsi qu'un nombre infini de conneries à accomplir, tout au long de l'année. Que du levant energiquement, John alla ouvrir sa porte. Torse nu, ne portant qu'un bas de pyjama, il se pencha au dessus des escaliers, s'adressant à son pèreJohn - Hey papa ! T'aurais pu me réveiller ! Mon réveil à pas sonné !Sourire. Son père gueulait, balbutiant des insultes incompréhensibles adressées à son cher et tendre fils. Provocation. Parce-que dès le réveil, john se devait de faire chier son monde. Rien ne lui donnait plus de satisfaction. La porte d'en face s'ouvrit. Liz, déja prête, en sortit, semblant surprise que John soit encore vêtu ainsi. Il se contenta de lui sourire, amusé, avant de retourner à sa chambre. Ce n'est qu'après sa douche et un petit déjeuné qu'ils filèrent, leurs nombreuses valises en main. Le trajet en voiture fut assez énérvant pour John. En effet, le débat de la maison de Liz avait été lançé. Etant nouvelle cette année, en sixième année, ils s'étaient questionnés sur la maison dans laquelle elle serait - Je vous dis qu'elle sera à - Tant qu'elle n'est pas à Serpentard...John - Les Serpentards te posent un problème ?Dean - Je suis désolé John, mais ce n'est pas une fierté d'être la-bas... John - J'en ai rien à branler de ta mère de Liz paru choquée, il le vit dans son regard à travers la mirroir déplié devant elle. Cependant elle ne dit rien. Et si elle avait dit quelque chose, s'aurait été pareil elle n'était pas sa mère. John, et maintenant qu'il était majeur, se sentait plus libre que jamais. Le reste du voyage en voiture se fit dans le les Serpentards étaient très fiers d'être dans cette maison, et par cela, se consideraient mieux que les autres. Ce n'était pas le cas de John. Il ne se considérait pas Serpentard. Ni Poufsouffle, Gryffondor ou Serdaigle d'ailleurs. Rien que l'idée d'être rangé dans une catégorie le dégoutait. Mais le fait que son père le rabaisse ainsi avait énérvé John, et l'avait poussé à défendre sa maison, bien qu'il ne se sente en aucun point rattaché à elle. C'était là qu'il dormait, point était 0855 lorsqu'ils traversèrent la barrière magique de la Voie 9 3/4, qui séparait le monde des sorciers à celui des moldus. Arrivant sur le quai bondé de monde, John jeta un oeil au banc sous une publicité pour le nouveau balai sortit pendant l'été. C'était là qu'il était assis quand il avait vu Key, il y avait un mois de cela...La cheminée du train siffla, rappelant aux deux élèves qu'il était temps de monter. John regarda Liz dire au revoir à sa mère, puis ils s'éloignèrent vers le train, John n'ayant pas un regard pour son père, qu'il ne verrait sûrement pas avant l'été et John montèrent dans le train, et longèrent le petit couloir à la recherche de compartiments de préférence libres. Lorsqu'ils en trouvèrent un, John pénétra à l'interieur, entrainant sa demi-soeur. Ils hissèrent leurs valises dans les casiers au dessus des bancs et s'assirent près des vitres. John, instinctivement, sortit une clope qu'il se cala entre les lèvres, reprenant leur discussion là où elle s'était brutalement arrêtée dans la voiture- Ca s'rait une bonne chose que tu sois à Poufsouffle. J'ai des amis là -bas. -Voyant le regard qu'elle lui lancait, il précisa, un sourire coupable aux lèvres- des amis fréquentables. Ils devraient venir ici d'ailleurs...Distraitement, après avoir allumé sa cigarette, il regarda vers le couloir, derrière la vitre du compartiment. Claire et Roy avaient l'habitude de le rejoindre dans le train... Que fouttaient-ils ? Le train s'ébranla et on pu voir dans le couloir, les derniers élèves qui disaient au revoir à leurs parents. Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Jeu 1 Nov 2007 - 1721 Allongée sur son lit, les yeux fixés sur les fissures du plafond de sa nouvelle chambre, Liz écoutait le vacarme de la rue et les voix de l'appartement des Corso. Aussi le sien à présent. Il y a quelques heures, elle s'était levée et avait entrouvert la fenêtre de sa chambre. Quelques mois auparavant, elle aurait distingué les hautes herbes, les fleurs et la rosée, elle aurait entendu le chant mystique de sa terre qu'elle aurait prolongé en son coeur. Mais ici, tout n'était que bitume, tristesse et pollution. Les quelques arbres, effeuillés, rabougris étaient prisonniers de goudron et de grilles métalliques. Le bruit sourd des voitures couvrait l'agonie des oiseaux. Elle en voudrait longtemps à sa mère de l'avoir trainée dans ce pays qu'elle ne considérait absolument pas comme le sien. Son chat Solembum partageait sans doute sa détresse, ils étaient expatriés tous les deux. Liz avait fermé les yeux et s'était rallongée, lasse, pour sentir la chaleur réconfortante de son chat contre son corps. DEAN - JOHN !Liz ne put retenir un sourire. Elle caressa distraitement son chat, couché sur son ventre en pensant à John Corso. Elle le découvrait chaque jour un peu plus. Il était la mauvaise fréquentation personnifiée. L'unique ambition de son existence semblait de faire rager son entourage quand il avait fait colérer son père pendant des heures il avait réussi sa journée. La mère de Liz le considérait comme la pire des nuisances,et pour cela, Liz l'appréciait plus encore. Bizarrement dès le début, le courant était passé entre eux. Un lien étrange s'était crée sans qu'elle s'en rende vraiment compte. Ils étaient complices. Pourtant en y pensant ils avaient peu de points communs si ce n'est de ne pas supporter leur parent respectif...DEAN - JOHN !Décidemment il commençait dés le matin! La radio était allumée chez John et faisait profiter d'un rock tout le premier étage..Liz se leva enfila un sweatshirt gris, déméla rapidement ses cheveux et rassembla ses valises déjà prêtes. Elle soupira sa mère ne manquera pas de lui faire une remarque sur sa tenue négligée. En hâte elle mit du rouge à lèvre et traça un trait noir sous ses yeux. Elle ne s'embêterait pas plus longtemps afin de plaire à sa mère. Elle oublait quelque chose... Ses yeux passèrent en revue la petite pièce très sobrement décoré. Le bureau où s'empilait des objets et papiers hétéroclites, une petite commode, un miroir simple accroché au mur, le lit; où se roulait allègrement son chat. DEAN - JOOOHN ! C EST LA DERNIERE FOIS !LIZ - Ne t'installe pas mon chat. On ne reste pas; et remercie le ciel pour ça..En tenant la cage du chat, son sac et deux petites valises, elle ouvrit avec difficulté la porte et tomba sur Corso, torse nu, en bas de pijama. Oh surprise..Liz haussa légerement un sourcil, marquant ainsi son étonnement mais sans éxagérer. Tout était dans la mesure. Corso lui sourit d'un air amusé, aucun mot n'avait besoin d'être échangé. Secouant la tête, Corso était inimitable, Liz descendit, accueillit les remontrances de sa mère par rapport à sa tenue innapropriée et déjeuna en vitesse. Ils prirent tous les quatre la petite voiture du père de Corso pour se rendre à la conversation du trajet concernait la maison de Liz. Liz prenait soin d'afficher un air de suprême indifférence, ne se mêlant pas à l'échange animé des déterminait la couleur de ses draps et de son écharpe, la belle affaire...John - Je vous dis qu'elle sera à - Tant qu'elle n'est pas à Serpentard...John - Les Serpentards te posent un problème ?Dean - Je suis désolé John, mais ce n'est pas une fierté d'être la-bas... John - J'en ai rien à branler de ta sourit intérieurement. John avait un don pour scandaliser sa mère. Liz toussota, demandant expressement à sa mère de ne pas réagir. Il ne manquait qu'un conflit ouvert entre John Corso et Gloria Palmer pour donner la dernière touche au tableau de la famille parfaite... Son étonnement ne connu pas de limite quand après s'être enfoncer dans un mur de brique, elle découvrit un train magnifique, assiégé par une foule d'élèves plus ou moins jeunes, et une foule de parents, plus ou moins inquiets. Elle dit rapidement aurevoir à sa mère et à son beau père; ils se porteraient bien mieux sans la présence des deux adolescents. Et réciproquement. Son demi - frère l'entraîna vivement dans le train, à la recherche d'un compartiment vide. La vue de tous ses élèves qu'elle ne connaissait pas nouait le ventre de Liz. Sa tête lui tournait. Elle se laissa tomber sur la banquette du compartiment vide dans lequel John et elle avaient pénétrés. John l'aida à monter ses bagages dans les casiers prévus à cet effet. Elle conserva son chat près d'elle. Sa présence la rassurait et lui permettait de conserver une attitude indifférente à ce qui l'entourait. Son regard se perdit au dehors, derrière la vitre embuée. Le paysage serait bientôt magnifique, à ce qu'elle avait pu entendre dire. Corso, une cigarette entre les dents, repris la conversation commencée dans la Ca s'rait une bonne chose que tu sois à Poufsouffle. J'ai des amis là -bas. Liz lui lança un regard narquois. Si ses amis étaient à son image, elle n'était pas sûre d'être enthousiaste...Corso perçu son ironie et rectifia rapidement, - des amis fréquentables. Ils devraient venir ici d'ailleurs... Il scruta le couloir, sans doute en espérant voir arriver ses amis. Liz déglutit difficilement. Rencontrer d'autres personnes n'était décidemment pas son fort, mais ça, comme le reste, ça restait entre elle et son chat. Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 140 a tout essayé mais il gouterra par ce rythme,Roy fixait le plafond revassant sur tout et été? avait surtout rentrée?Elle s'annonçait pas dernière année à Poudlard se devait d'être plus il avait plein pouvoirune personne inconsciente l'avait nommée we go again...Solène - Roy!Tu va être en retard!Roy - Mais non!Il est seulement 730!Solène - La dernière fois que tu as reglé ton réveil c'était en décembre!Il est 830!Roy - PUTAIN DE MERDEUH!Roy sauta de son lit à toute vitesse,attrapant ses affaires à la va sauta par la fenêtre vous excitez pas sa chambre est au rez-de-chaussée... et pris un taxi,se faisant gueulez dessus parce que son hibou avait pas vraiment supporté d'être secoué tel un sac à reçut un sms de Claire,surement une engueulade parce qu'il était toujours en retard...Il arriva enfin à le gare et courut le plus vite qu'il put vers la voie 9 3/4,le Poudlard Express commençait à - BANDE D'ENFOIRES ATTENDEZ-MOAAAAAA!!!!Evidemment,les seuls qui l'écoutaient se foutaient de le stress accumulée,blondinet pu compter sur une de ses meilleures amiesl' piqua un sprint de taré et sauta dans le Poudlard Express,rentrant directement dans un compartiment,brisant la fenêtre de atterit sur la tête,son pied soutenant la cage de son hibou,sa valise s'était ouverte sous le leva les yeux où les baissa plutôt et vit John en compagnie d'une jolie - Oh salut John...Je dérange pas au moins?... InvitéInvitéSujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 1632 - ROOOY ! ESPECE D'ABRUTI ! DEPECHES-TOI !John, recrachant sa fumée, porta son regard sur le couloir à côté des compartiments, d'un air vaguement interessé. Il savait de qui venait la voix. Un, parce-qu'il l'avait déja entendue un milliard de fois hurler, et deux parce-qu'elle gueulait contre Roy Friderich. Ce ne pouvait être que Claire Storm. John sourit lorsque la rouquine s'arrêta devant leur compartiment, dos à eux, tempestant contre quelqu'un au RAMENES TES FESSES ICI ! PAUVRE IDIOT FAUT TOUJOURS QUE TU SOIS EN RETARD ! JE TE PREVIENS SI TU RATES LE TRAIN JE TE BROIE LES TRIPES !John pouffa de rire, sachant très bien que Roy, qui cavalait certainement comme un con à côté du train, ne pouvait entendre la lionne qui s'égosillait à lui hurler dessus. Reportant son attention sur Liz qui, et c'était compréhensible, regardait Claire d'un air bizarre, il se justifia- BANDE D'ENFOIRES ATTENDEZ-MOAAAAAA!!!!- J'ai dis qu'ils étaient fréquentables... j'ai pas dis normaux...Il y eu un grand fracas un bruit de verre brisé, suivit d'un cri aigu de Claire, et un bruit sourd, comme si quelqu'un était tombé par terre. John, qui avait replié ses jambes sur le fauteuil juste à temps pour ne pas se les faire broyer par l'atterissage du blond, baissa les yeux sur lui, faisant les grands yeux. Pour une entrée fracassante, c'était fracassant... Heureusement, les bouts de verre n'avaient blessés personne...- Oh salut John...Je dérange pas au moins?...- Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds à l'entrée, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarée qui crit...- QUOI L'AUTRE TAREE ? C'EST MOI LA TAREE ? ET CE SOMBRE IDIOT DE BLOND IL EST PAS TARE LUI ?? ROY JTE DETESTE ! TU M'A FAIS PEUR ESPECE DE...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours très calme et discrète... très sereine comme fille...- J't'emmerde... -Dit-elle avec un sourire, baissant le ton de sa voix, se rendant compte que tout le monde les regardait dans le Reparo. Les morceaux de verre revinrent à leur place, intactes, comme si Roy n'était jamais passé par là . Claire repartit dans le couloir, pour disperser les spectateurs et revint dans le compartiment, donnant un coup de pied dans la jambe de Roy, qui la gênait pour passer. Elle vint s'asseoir à côté de John, soupirant. Celui-ci, mettant sa main comme pour se cacher de Claire, se pencha vers Liz et murmura, un sourire aux lèvres- C'est le couple le plus dingue du chateau...Claire la frappa, contestant qu'ils n'étaient ni en couple, ni dingues. John lanca un regard à Liz qui en disait long. Il y avait de quoi avoir des soupçons dans les deux cas...- Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-être nous présenter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?- C'est ma -Claire rougit, devenant presque aussi rouge que ses Hum... excuses-moi... je suis Claire Storm... et lui -elle lanca un regard noir à Roy- C'est Roy Friderich... Et tu est... ? Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 5 Nov 2007 - 2033 Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds à l'entrée, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarée qui crit...-Oh nan elle est là ?Un menu spéciale engueulade livrée en 2 secondes seulement sinon on vous rembourse lui donna la se releva qui lui avait pris de sauter comme ça?Enfin avec sa chance il aurait dû se prendre le train en pleine poire...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours très calme et discrète... très sereine comme fille...-Si t'es pas blond tu risques Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-être nous présenter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?- C'est ma -Mes avait balancé ça comme une plaisanterie mais il savait bien que la vie de famille des Corso n'était pas ramassa un de ses caleçons,et enchaina avec le reste de ses affaires avant de fermer sa valises avec le veut dire que t'as pas encore été répartie?Je te préviens si t'arrives à Poufsoufle tu va avoir du mal à pioncer... -Dit-il en regardant la rouquine qui peu de temps avant avait parfaitement imité la sirène d'une voiture de police- Mais au moins tu t'amuseras un Roy retrouva une bonne humeur à toute sa poussée d'adrénaline et les engueulades,maintenant c'était le moment qu'il avait attendu depuis deux mois... Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Mar 6 Nov 2007 - 1449 Une grande agitation secoua soudain leur compartiment. Une voix vociférait tant qu'elle pouvait contre, apparemment, quelqu'un qui courait à côté du train. Ca ne pouvait être que les amis de son cher frère. Elle détailla la jeune fille rousse qui ne cessait de hurler, provoquant l'hilarité de Corso. Liz ne put s'empêcher de fixer la rouquine d'un air interdit, ce que son frangin n'oublia pas de remarquer- J'ai dis qu'ils étaient fréquentables... j'ai pas dis normaux... Elle n'était pas très grande mais en imposait beaucoup. Liz n'aurait jamais cru qu'autant d'énergie et de décibels puissent venir d'une aussi petite personne. Autant dire qu'il valait mieux éviter de la mettre en colère. Le noeud qui nouait 'lestomac de Liz l'enserra un peu plus. Dans un énorme fracas de verre brisé, un jeune homme blond atteri au milieu du compartiment, évitant de peu de broyer les jambes de Liz et de salut John...Je dérange pas au moins?...Liz demeurait abasourdie. Entrée en matière très naturelle pour quelqu'un qui se refusait d'emprunter les Oh non, du tout... Bienvenue Roy. Oublies pas d'essuyer tes pieds à l'entrée, faudrait pas que tu abimes le train...... Liz, voici Roy... dans toute sa splendeur. Et l'autre tarée qui crit...- QUOI L'AUTRE TAREE ? C'EST MOI LA TAREE ? ET CE SOMBRE IDIOT DE BLOND IL EST PAS TARE LUI ?? ROY JTE DETESTE ! TU M'A FAIS PEUR ESPECE DE...- Voici Claire. Elle est adorable tu verras. Toujours très calme et discrète... très sereine comme fille...Liz sourit, l'ironie de Corso la détendit un peu. Son regard passait de Roy à Claire avec une même imperceptible appréhension. Elle passa ses doigts dans ses cheveux et soupira lentement, espérant se sourit, tout le monde, même Liz, pouvait voir que la discrétion et le calme lui était apparemment J't'emmerde... - Reparo. La fenêtre du train parut comme neuve. La surprise de Liz ne connu plus de limite. SI on lui avait demandé d'éffectuer un sort pareil, le résultat aurait sûrement été un magnifique vitrail représentant un berger menant les moutons dans une auréole de lumière ou n'importe quelle bêtise du genre. Les sorts banals lui échappaient. Chez elle les sorts étaient appris de telle façon qu'ils avaient pour but d'embellir le réel. Et les principaux sorts étaient en relation avec les couleurs ou les formes de la nature. Liz savait qu'elle possédait d'importantes lacunes comparée aux élèves anglais. Elle avait suivi une éducation diamétralement opposée dans son principe. Corso se pencha vers elle et lui mumura à l'oreille C'est le couple le plus dingue du chateau... Claire assura qu'ils n'étaient ni en couple ni dingues. Corso lança à Liz un regard éloquent auquelle elle répondit par le même regard. - Au lieu de dire des conneries, tu pourrais peut-être nous présenter cette jolie fille que tu dragues, que tu vas encore mettre dans ton lit dans deux jours et jeter dans trois jours ?Liz lança un regard narquois à Corso. Décidement il devait profiter d'une belle réputation...- C'est ma -Mes excuses-moi... je suis Claire Storm... et lui c'est Roy Friderich... Et tu est... ?Liz la regardait intensement. C'était une drôle de fille assez différente de Corso. Ayant passé l'été avec lui, elle n'était plus habituée à cette débauche de paroles et d'énergie dispersée que représentée pour elle cette jeune fille, semblable à un Liz Palmer. Je suis nouvelle en 6eme année... J'étais dans une école de magie en Afrique du sud les années précédentes... Elle tenta un sourire. Ca suffisait pour la décrire non? Roy l'apostropha en rangeant à la va vite ses affaires éparpilléesCa veut dire que t'as pas encore été répartie?Je te préviens si t'arrives à Poufsoufle tu va avoir du mal à pioncer... Mais au moins tu t'amuseras un peu!Elle échangea un regard avec Corso. Lui aussi pensait que poufsouffle serait une bonne maison pour elle. Mais était ce si important? De toute façon elle passerait son temps au parc et elle devrait tout découvrir comme une petite de première année. Maintenant qu'elle était en Angleterre rien ne lui importait vraiment...- Je ne sais pas dans quelle maison je serais.. Pas à serpentard je suppose..- elle jeta un regard en coin à son demi-frère- Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?Elle tapota distraitement la cage où son chat roupillait allégrement en pensant qu'elle avait encore beaucoup à découvrir à propos de Corso. InvitéInvitéSujet Re C'est reparti pour un tour... Mer 7 Nov 2007 - 1725 - Liz Palmer. Je suis nouvelle en 6eme année... J'étais dans une école de magie en Afrique du sud les années précédentes... - EN AFRIQUE ? Waoh ! Toi tu viens de loin ! Mais t'est pas née la-bas je suppose... ?Alors que les filles parlaient des origines de Liz et de celles de Claire qui était francaise John regardait dehors, silencieux. Un bon air de vieux rock dans la tête, il mourrait d'envie de jouer ce morceau qu'il connaissait par coeur à la guitare. John avait une véritable passion pour la musique. Ce qu'aimait John pouvait facilement se résumer en trois mots Clopes, filles, guitare. Accro aux trois, il se révélait très bon dans les deux derniers...- Ca veut dire que t'as pas encore été répartie? Je te préviens si t'arrives à Poufsouffle tu va avoir du mal à pioncer... Mais au moins tu t'amuseras un peu!- Ah ca...- Je ne sais pas dans quelle maison je serais.. Pas à serpentard je suppose... - y eu un bref silence, puis Liz enchaina- Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?- Roy et moi on a fais nos trois premières années à Beauxbatons, en France. Après, on à déménagé et comme le hasard fait bien les choses, on s'est retrouvés ensemble à Poufsouffle. Mais ouaip, sinon on se connait depuis l'âge de 11 ans... Et John... C'était en quatrième année je crois... ?- Ouaip. Quand tu as succombé à mon charme fou pendant le cours de sortilèges... T'a quand même mis deux mois avant d'accepter de sortir avec moi... Mais t'a quand même Que veux-tu, on a tous fait des erreures dans notre J'te le fais pas dire...Elle le cogna de nouveau sur l'épaule tandis qu'il pouffait de rire. Et oui... ils étaient sortis ensemble. Après cela, un silence de quelques minutes s'installa, chacuns étant dans leurs J'me fais se leva si soudainement qu'il fit sursauter Claire qui tomba sur Roy avant de se redresser, gratifiant John d'un regard étonné. John était un type, en général, très mou. Ne bougeant que quand il le fallait, ne parlant que quand cela était nécéssaire... mais il lui arrivait de pêter son cable et alors la... Il enchainait les conneries et partait, seul ou non, dans ses délirs. Il ne fallait pas se poser de questions sur le pourquoi, c'était John, c'est tout. Pris d'un de ces petages de plombs, il se hissa sur la pointe des pieds pour prendre sa valise. Mais ce n'est pas elle qu'il prit. Hissant quelque chose se trouvant à côté, il sortit de la soute une housse de guitare. La housse de SA guitare. La posant sur la banquette, il fit glisser la fermeture et sortit son instrument. Il n'avait pas d'objet plus important pour lui que sa guitare. Noir et blanche, elle brillait de propreté. Enfilant la lanière autour de son cou, il enleva son collier une ficelle noir simple, passant dans un trou fait dans un mediator. Il prit le collier en pleine main, ne laissant dépasser que le médiator entre ses doigts. Il sortit alors sa baguette de son autre poche et, la pointant sur son instrument, murmura, un sourire aux lèvres- priori, rien ne se passa. Mais il eut l'air satisfait de lui et jeta sa baguette là où il était assis, calmement, quelques minutes plus tôt. Il baissa les yeux sur son instrument et, guidé par l'air dans sa tête, tappa quelques fois du pieds par terre, pour se donner le rhytme. Et il commenca à jouer...Liz n'avait encore jamais entendu John Corso jouer de sa guitare. Véritable virtuose de cet instrument, John grattait les cordes à une telle vitesse qu'on aurait pu croire qu'il était le compositeur de ce morceau. On voyait, dans l'agilité de ses doigts, que John avait beaucoup d'années d'entrainement derrière lui. Le son quand à lui était parfait. Nul besoin d'empli le sort lancé emplifiait le son de l'instrument. Ainsi, il résonnait dans le compartiment et certainement dans les voisins. Ce morceau avait tellement été travaillé par le jeune homme que malgré la difficulté, il était joué à la perfection. Quand à John... Guitare en main, debout au milieu du compartiment, tappant du pied au sol... Il dégageait quelque chose de formidable. De magique. On voyait, on comprenait que John était né pour jouer de la guitare. C'était bien plus qu'une évidence. Dégageant un de ces charisme encore plus dingue que dans son état "normal", on aurait dit une star en concert. Se courbant pour effectuer les sons les plus difficiles, John était à fond dans son truc. Accompagnant la musique des paroles, il chantait, d'une voix rauque, pas désagréable. il était méconnaissable. Et à la fois... c'était tellement lui... Attirant le regard sur lui, imposant, charismatique... tout cela s'était really gets me high You know that's no lie She's so rock steady And she's always ready Whoa, Black Betty Whoa, Black BettyNé pour jouer. Le rythme dans la peau, et du talent à revendre. En fait, c'était la seule chose que John savait faire. En magie, il était nul. Idem pour le sport. Mais la musique... touchant un peu à tout les instruments "rock", il maniait la guitare comme un chef. Claire, lorsqu'elle évoquait ce don, l'appelait même "le Dieu de la Guitare". Pour continuer sur Claire, elle était assise et fixait John. Elle ne pouvait détacher son regard de lui. Qu'est-ce qu'il était beau quand il jouait... C'était en le voyant jouer la première fois, qu'elle avait craqué pour lui...Et elle n'était pas la seule. Dehors, un groupe de fille qui s'était déplacé d'un compartiment à l'autre regardait John, gloussant, le dévorant des yeux. John, qui avait remarqué leur présence, et qui était parfaitement conscient que son pouvoir de séduction était d'autant plus fort quand il jouait, lancait des regards aux filles, ses regards ravageurs qui en avaient fait fondre plus d'une. Gloussant de plus belle, les filles rougissaient désormais. John regarda alors Roy, amusé, d'un regard du genre "prends-en de la graine". Puis il sourit aux filles, jouant les dernières le morceau prit fin. Jouant la dernière note, John cessa ensuite, sous les sifflets et les applaudissements de Claire. Les filles quand à elles, se dispersaient, rougissant d'avantage à l'idée qu'il pourrait leur parler, timides. Une d'elle resta cependant. La plus jolie et, visiblement, la plus sûre d'elle. John posa sa guitare sur la banquette et alla ouvrir la porte du dortoir. Il lui dit quelque chose que les autres ne pouvaient entendre et elle rit. John lanca un regard à Roy. Entre gars, ils se comprenaient... cette fille était top canon. John sortit du compartiment et se tourna vers les Je reviens... plus il ferma les portes et passa son bras sur les épaules de la jeune fille, disparaissant de leur champ de vision. - Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... Cependant, Claire le comprenait. Avec la tête et l'assurance qu'il avait, il pouvait tout se permettre. Et alors quand il se mettait à jouer... Cependant, cette fois, il n'avait pas joué spécialement pour attirer des filles... non, ca c'était un concours de circonstances... Non, il avait joué parce-qu'il se faisait chier, qu'il en avait envie, qu'il aimait bien jouer devant eux, et certainement pour montrer à Liz ce qu'il était capable de faire. Car c'était sa fierté... Et son ambition. John ne voulait pas de situation de famille plus tard, installé dans une ville, avec un boulot fixe... Non, comme il avait déja dit à Claire, il voulait vivre de sa musique, et voyager. En gros, se faire un nom dans le monde du rock pour pouvoir gagner sa vie grâce à la musique. Et il en avait les respectueuse, tourna la tête vers sa guitare et, comme si c'était la prunelle de ses yeux, la prit avec une infinie délicatesse pour la ranger dans sa housse, puis dans la soute non sans mal, étant donné sa petite taille, Roy du lui donner un coup de main, bien qu'il ne soit pas bien grand non plus. Reprenant place à côté de Roy, Claire posa les yeux sur Liz, J'espère que sa réputation va pas te poser de problèmes à l'école... -elle regarda Roy, puis de nouveau Liz, s' Il est pas vraiment aimé au chateau... Il cherche et fou la merde partout où il peut... Et mieux vaut être son ami que son ennemi... -Souriant, elle tourna la tête vers Rappelles toi Dakota l'an dernier... Roy FriderichNombre de messages 125Maison PoufsoufleAge du Perso 17 ansDate d'inscription 23/09/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultés Spéciales //Sujet Re C'est reparti pour un tour... Mer 7 Nov 2007 - 2150 - Ca fait longtemps que vous vous connaissez tous les trois..?- Roy et moi on a fais nos trois premières années à Beauxbatons, en France. Après, on à déménagé et comme le hasard fait bien les choses, on s'est retrouvés ensemble à Poufsouffle. Mais ouaip, sinon on se connait depuis l'âge de 11 ans... Et John... C'était en quatrième année je crois... ?- Ouaip. Quand tu as succombé à mon charme fou pendant le cours de sortilèges... T'a quand même mis deux mois avant d'accepter de sortir avec moi... Mais t'a quand même Que veux-tu, on a tous fait des erreures dans notre J'te le fais pas dire...- Vive les contradictions... aimait la contradiction,mais quand on parlait de John,autant dire qu'elle l' le blond aimait la taquiner à se sujet...Il se gratta l'épaule se remmémora sa première rencontre avec 6 ans plus tôt,en l'époque,Roy était dépressif,ne souriait jamais et parlait fut-il légerement désorienté quand la pile rouquine lui tomba lui lança un sortilège raté,par peur riposta avec un autre sortilège ils se réveillèrent à l'infirmerie,Roy s'aperçut que sur son épaule gauche était imprimé un étrange signe,que Claire avait signe était surement du au double sortilège doublement raté,et les deux frenchies décidèrent de ne pas en parler,ce signe étant avant tout la preuve d'un cela ils devinrent des amis inséparables et firent le reste de leur scolarité à leur arrivée à Poudlard,ils ne tardèrent pas à connaitre Johnny Dean avec Liz Palmer,tout semblait dire que le trio allait devenir un silence s'abbatit dans le J'me fais Putain quelle surprise...John se leva aussi rapidement que Claire tomba contre Roy,qui serait tombé un arrière si aucun mur ne soutenait son fait la saisit le seul engin dont il ne vantait pas la taille,sa lança un Sonorus et commença à était comme disait Claire, un "Dieu de la basse".Le seul point qu'elle ne contradisait pas chez le really gets me high You know that's no lie She's so rock steady And she's always ready Whoa, Black Betty Whoa, Black BettyUn groupe de fans hystériques s'attroupa devant la comment être un aimant à femmes en 10 était en train de baver en le regardant,scène très adressa à Roy un regard le domaine musical,le blond n'avait pas grand-chose à envier à l'aimant à femmes,il jouait de la guitare éléctrique presque aussi bien que lui de la il l'avouait,en jouant uniquement dans la salle commune des poufsoufles,dans la salle sur demande où chez des amis,ça faisait moins d' alors?Roy jouait uniquement pour le n'avait pas souvent envie de jouer pour les autres mais surtout pour lui,pour se tester,pour se surpasser,pour profiter du son unique de son si pour un célibataire c'est pas l'idéal... sa magnifique interprétation,John laissa son troisième bras faire sa loi et sortit du Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse... et rangea avec un soin inhumain la guitare de Corso,et Roy l'aida à la mettre dans la en profita pour mettre avec sa valise et sa basse,puis retourna s' Rappelles toi Dakota l'an dernier...-La tafiole espagnole?Une vraie merde ce mec...Sérieusement Liz t'as pas grand-chose à qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront décamperont vite crois-moi...Ils ne tarderaient pas à arriver regarda par la fenêtre,sa tête posée dans sa dernière année à Poudlard...Déjà ...Il avait presque envie de redoubler...Dernière édition par le Ven 9 Nov 2007 - 2116, édité 1 fois Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Jeu 8 Nov 2007 - 2103 CLAIRE - EN AFRIQUE ? Waoh ! Toi tu viens de loin ! Mais t'est pas née la-bas je suppose... ?Liz dissimula tant bien que mal son embarras en faisant jouer les ficelles de son sweatshirt entre ses doigts fins. Autant elle était relativement douée pour murer en elle même ses émotions et ses états; autant son trouble était perceptible quand elle devait répondre à des questions la touchant personnellement. Elle prenait le parti du "moins ils en savent, mieux je me porte", plutôt - Hum, ça se voit tant que ça...? Je suis née en Angleterre mais ma mère a décidé de....fuir pour ainsi dire, elle a choisit l'afrique du sud. Ce pays est le mien à présent. En fait c'était bien plus, c'était tout pour elle. C'est peut être la seule chose pour laquelle elle pouvait être reconnaissante envers sa mère... Elle eut un bref rire crispé. Elle enchaîna - Et toi?C'était si facile avec Claire. Celle ci raconta sa vie en France, son éducation à Beauxbatons, sa rencontre avec Roy et son déménagement en Angleterre. La conversation suivait son cours. Liz apprit que Claire était sorti avec son demi frère. Décidemment... CORSO - J'me fais chier. ROY - Putain quelle surprise...Sans prévenir personne, Corso le flegmatique se leva d'un bond et fouilla le porte bagage. Il en sortit avec une infini précaution une magnifique basse. Et contre toute attente, commença à en jouer. Si Liz avait été d'un naturel expensif, elle serait tout de même rester sans voix. A l'instar de Claire, qui était l'impressionnée même, et de Roy. Elle écarquilla les yeux, ne croyant pas au Corso qu'elle avait sous les yeux. C'était tellement lui et pourtant... C'était la musique elle même qui se traduisait au travers de toutes ses expressions. Il était le Rock. Charmant en temps normal, ça même Liz n'avait pas pu en faire abstraction mais là ... Il exercait une attirance sur toutes les filles qui s'étaient amassé devant la porte du compartiment espérant arracher un regard au joueur de guitare. Liz leur accorda un bref coup d'oeil méprisant. Elle détestait toutes ces filles prêtent à s'évanouir au moindre geste en leur direction de leur "idole". N'avaient elles aucune fierté? aucune intégrité? Elle se concentra sur le son profond de la basse qui vibrait pour le dernier refrain. Son demi- frangin était unique en son genre elle s'en apercevait chaque jour passé auprés de lui. C'était la première personne humaine pour qui elle éprouvait réellement de l'estime et... de la confiance..? Non, Liz! Elle n'avait confiance en personne et c'était ainsi depuis toujours. Aucune raison de modifier ses petites habitudes... La chanson était finie, Claire ne tarissait pas d'aclamer, comme les autres filles, le dieu de la basse; qui lui, entraîna une jolie fille tombée sous son charme vers un autre compartiment... Je reviens... plus tard... Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse...Liz reporta son regard sur les deux amis assis en face d'elle. Ils s'entendaient visiblement à merveille... Liz scruta la campagne anglaise, certes, ces paysages étaient magiques, magnifiques, ancestraux... Mais on avait beau dire, rien au grand jamais n'aurait valu ses paysages natals d'Afrique du sud. Elle se rendit compte que le regard de Claire était posé sur elle - J'espère que sa réputation va pas te poser de problèmes à l'école... Il est pas vraiment aimé au chateau... Il cherche et fou la merde partout où il peut... Et mieux vaut être son ami que son ennemi... -La rouquine sourit à Roy-Rappelle toi Dakota l'an dernier...La tafiole espagnole?Une vraie merde ce mec...Sérieusement Liz t'as pas grand-chose à qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront décamperont vite crois-moi...Roy était adorable. Et protecteur envers ceux qu'il appréciait sans nul doute..Liz le gratifia d'un gentil sourire - C'est réellement gentil... Toutefois.. Ceux qui avait eu le privilège d'un peu la connaître aurait pressenti un léger changement dans son attitude. Elle pencha légérement la tête, croisa les bras, souriant toujours un minimum, sans lacher le blond de ses yeux bleu Me considères tu comme une fillette sans défense?Elle le fixait, elle aimait pousser les gens dans leur retranchement, sans une débauche de paroles édition par le Ven 9 Nov 2007 - 2140, édité 1 fois InvitéInvitéSujet Re C'est reparti pour un tour... Ven 9 Nov 2007 - 2022 -Je reviens... plus tard...-Tsss... celui-la alors... il en rate pas une... - Jalouse...Claire lui lanca un regard noir, cependant avec un petit sourire au coin des Jalouse de cette pouffiasse ? J'te remercie, avec Corso, j'ai donné... -Elle tourna la tête vers Liz- J'espère que sa réputation va pas te poser de problèmes à l'école... Il est pas vraiment aimé au chateau... Il cherche et fou la merde partout où il peut... Et mieux vaut être son ami que son ennemi... Rappelle toi Dakota l'an dernier...-La tafiole espagnole? -Claire eut un petit sourire- Une vraie merde ce mec... Sérieusement Liz t'as pas grand-chose à craindre. Surtout qu'avec John et moi ceux qui t'en voudront décamperont vite crois-moi...- Dakota était pas méchant Roy, c'est John qui faisait tout pour le faire pêter un cable... Elle soupira puis se décala de Roy pour se mettre là où Corso était assis quelques minutes plus tôt, contre la fenêtre. Elle replia ses genoux sous son menton et jeta un regard dehors, tandis que Liz répondait à C'est réellement gentil... Toutefois... Me considères tu comme une fillette sans défense ?- Roy, depuis le temps, tu devrais savoir qu'il ne faut pas se fier aux apparences...Lacha la rouquine d'un air absent, sans leur accorder un regard, les yeux toujours fixés sur le décor qui défilait sous ses yeux, derrière la vitre, à toute vitesse. ~ PENDANT CE TEMPS ~- John Corso. Tu crois que je ne connais pas ta réputation ? - ... Alors cesses de me draguer...- Je crois que c'est toi qui me Ah vraiment ? Et qui te dit que tu me plais ? Je n'aime pas les Alors qu'est-ce que tu fais là ?La jeune femme cessa de lui répondre, et il y avait de quoi Appuyée le dos contre le mur d'un compartiment, dans le couloir, elle était à quelques milimètres de John. Lui, en face, était appuyé sur ce même mur, la main juste à côté de la tête de la jeune T'est nouvelle pas vrai ?- Et tu as déja entendu parler de moi ? Je suis On ne m'a pas dit du bien de Je suis un éternel incompris. C'est quoi ton nom ?- Key John déglutit. Key...- Et bien Key...Il lui sourit et, sans prévenir, lui vola un baiser. Elle le repoussa, posant les deux mains sur son torse pour l'éloigner d' Tu crois que c'est si facile Corso ? Combien de fois avait-il entendu ca... ? Toujours la même chanson. Un sourire aux lèvres, il leva les mains en signe d'innocence, reculant dans le Très bien très bien. Et il s'éloigna. Sûr de son cou, Corso compta dans sa tête jusqu'à main lui attrapa l'épaule et le retourna, des lèvres se collèrent aux siennes. Souriant, il laissa la jeune femme le plaquer contre le mur, l'embrassant avec fougue. Lui caressant le torse avec appetit, elle l'embrassait et lui lancait des regards très allumeurs. John souriait. Puis, elle cessa. Remettant ses cheveux en place, elle recula, le bouffant du Si tu veux plus, il faudra que tu le lui sourit, se passant une main sur les cheveux, et la regarda partir. Puis il partit dans l'autre sens, revenant vers son compartiment qu'il avait quitté depuis une demi heure. Arrivé devant, il ouvrit la vitre et regarda les occupants tour à tour. Ils n'avaient pas bougés, mise à part Claire qui était désormais à sa place et semblait fouiller dans sa valise. Tandis qu'il entrait, elle sortait son éternel carnet à dessins et son crayon. Claire avait un don pour le dessin. A croire qu'à eux, ils étaient une bande d'artistes. Enfin, Claire ne savait pas dessiner les paysages ou les objets... pour une raison que john ignorait, elle s'était spécialisée dans les portraits. Il vint s'asseoir à côté de Liz. Claire, elle, posa ses pieds sur la banquette à côté de Roy, de manière à avoir le carnet calé sur ses jambes, et à l'abris des Qu'est-ce tu dessines encore ? - ... Un ce n'était pas crédible.. Claire ne savait pas mentir. Soupconnant qu'il y avait quelque chose qu'elle voulait lui cacher, John se redressa, essayant de poser les yeux sur son carnet qu'elle cacha Regardes pas mon lama !- Tss... Tu sais pas dessiner les lamas Claire. En plus je vois pas l' Je vois pas l'intêret non plus de jouer de la guitare éléctrique au milieu d'un train. A part celui d'attirer les filles comme des mouches. Comment ca s'est passé avec la blondasse ? Elle t'a jeté ? Enfin une qui a comprit ton petit jeu ?- Nan. Elle m'a T'est déséspérant John. - Hey, moi contrairement à certains -il accentua sur le mot, son regard allant de Claire à Roy avec insistance- je tourne pas autour du pot pendant quinze ans. J' Bah tu agis trop !Claire, voyant l'insinuation que John avait faite se renfrogna, s'enfonca avec rage dans son siège, véxée. Elle gribouilla des choses sur sa feuille, s'enfermant dans un silence. Elle même ne savait pas pourquoi elle s'énervait. - Hey si c'est ta mauvaise semaine, c'est pas de ma faute...- La la regarda, froncant les sourcils. Bon, Claire était vraiment énérvée. Il décida de lui fouttre la paix, sachant que ca lui passerait... elle ne pouvait rester seule, et elle ne pouvait s'empecher de parler. Un silence de dix minutes avec Claire, c'était impossible. John navigua donc vers des eaux moins dangereuses. Sortant une clope, il la cala entre ses lèvres avant de jeter le paquet sur Claire, parce-que ca faisait trop longtemps qu'il n'avait pas provoqué. - Prends, ca lui jeta son paquet de clopes dans la figure avec force, serrant un peu plus les dents et gribouillant avec acharnement sur son calepin. - Alors Roy, t'a bossé ton morceau de Santana ?John savait que Roy se débrouillait bien en basse. Et il l'encourageait... ne s'entendant pas avec son groupe actuel, Corso comptait, prochainement, en créer un nouveau. Il comptait sur Roy, même si il ne lui avait pas encore fait part de son projet...Tandis qu'il parlait, Claire ruminait interieurement, maudissant Corso. Qu'est-ce qu'il pouvait être con! Cependant, elle même ne comprenait pas pourquoi elle s'emportait si facilement. Elle qui était la pile, la bonne humeur du groupe... Mais elle n'aimait pas que John fasse des allusions à Roy et elle. Pourquoi ? Elle ne savait pas. Mais dès qu'il lui en parlait -car cet abruti croyait qu'il y avait quelque chose entre eux- elle s'énervait. Pour tenter de se calmer, elle tourna les pages de son carnet et regarda les dessins précédents. Des visages, des corps... ou plutot, un visage, un corps. Toujours le même Paine White. Voila pourquoi elle refusait que quiconque, même Roy, touche à son carnet. Roy...Elle leva les yeux sur lui, derrière son carnet à dessins. Elle le regarda tandis qu'il parlait musique avec John. Elle le dévisagea. Il était mignon Roy... Ses cheveux blonds, elle les adorait. Et puis sa petite bouille, il était adorable. Quand à son corps... Claire, ta gueule. Elle sourit et rougit légèrement, baissant les yeux sur son carnet plein de gribouillis. Elle dessina vite fait, du bout des doigts et pensive, ce qui devaient être les yeux de Paine... mais jugeant le dessin mal fait, elle le gribouilla avant même d'avoir fini le deuxième oeil. De nouveau, elle regarda Roy. Leurs regards se croisèrent une seconde. Il souriait. Elle ne pu s'empecher d'essquisser un petit sourire à son tour. Si le sourire était contagieux, entre eux, c'était puissance 1000. Il suffisait de croiser son regard pour être rassurée. Dès qu'il était là , elle se sentait bien, en sécurité. Et seul son sourire avait le pouvoir de la rendre heureuse, dans n'importe quelle ferma son carnet et le rengea soigneusement dans sa valise, au fond, sous ses habits. Puis elle revint s'asseoir, tout près de Roy. Se collant contre lui, elle ramena ses pieds sur la banquette et enfouit sa tête dans le creux de son cou tandis qu'automatiquement, Roy passait son bras autour de ses épaules. Là , elle était bien. elle venait chercher du réconfort auprès de la personne qui lui apportait tant, bien plus que ce que pouvait lui apporter n'importe quel petit ami. Ce bien être se traduit par un sourire, et aussitôt, Claire, la Claire que tout le monde connaissait Liz... Parles nous de l'Afrique. Comment c'est l'école la-bas ? Est-ce que vous êtes aussi répartis dans des maisons ? -elle baissa le ton- Est-ce que tu avais de bons amis la-bas... ? Tu vas garder contact avec eux... ?Elle s'imaginait être séparée de Roy pour aller faire des études dans un pays lointain. Impossible. Même John, cet abruti, lui manquerait. Liz PalmerNombre de messages 37Date d'inscription 20/10/2007Sujet Re C'est reparti pour un tour... Dim 11 Nov 2007 - 1933 Chacun était plongé dans ses pensées. Claire avait sorti un carnet à dessin et semblait profondément absorbée par sa tâche. Relevant parfois ses yeux pour jeter des coups d'oeil furtif aux autres occupants du compartiment, Liz et Roy. A croire que ce qu'elle dessinait était l'Ultime Secret. Liz sourit. Elle était douée aussi pour ça. Ce faire sourire seule. Parfois elle arrivait à se faire rire aux éclats sans prononcer une parole. Autant dire que ces moments là accentuaient la solitude qu'elle affectionnait tant. Elle posa sa tête sur la banquette un instant. Qui aurait cru qu'elle se serait retrouvée dans un train inconnu, en partance vers une école étrangère, en compagnie de deux personnes dont elle savait si peu de choses... Il y a même un an de cela elle aurait rie au nez de celui qui lui annonçait pareil tour du destin. Aussi elle s'était trop laissée prendre au jeu du bonheur. Seize années d'une sérénité sans égale au coeur de ce qu'elle avait toujours aimée, ce qui brûlait dans son corps et dans son âme. Elle était née pour l'Afrique. Pour la nature, pour le son des djembés le soir au fond des bois. Pour les plantes grimpantes, la chaleur des rayons au travers des feuillages de toutes les couleurs. Les animaux de toutes espèces buvant au même point d'eau, l'accueillant chez eux sans questionnements. Comprenant le feu qui les habitait eux et elle...Elle sursauta à l'entrée de Corso dans le compartiment. Il s'adressa directement à Claire- Qu'est-ce tu dessines encore ? - ... Un sourit. Sens de la répartie inné chez Claire? Son demi frère continuait de taquiner Claire qui s'enflamma de plus belle. Liz détourna son attention de la dispute qui tournait court. Elle colla ses genoux contre elle et les couvrit de son sweatshirt ample. Elle frissonna. Il faisait froid déjà , elle n'avait pas l'habitude d'avoir froid. C'était une drôle de sensation, un tremblement incontrôlé - et dieu sait que Liz détestait l'incontrolable - les tripes qui se broient, un claquement de dents, de la buée... Elle soupira encore. C'était trop. Elle attrapa vivement son sac et sortit de la poche extérieur une petite photo en noir et blanc. Corso était absorbé dans sa discussion avec Roy et Claire par son mystérieux dessin. Liz se rassit et déplia lentement la photo, usée d'avoir trop été regardée. Elle avait pris cette photo un jour de mars. Il faisait déjà tellement chaud. La nounou lui avait donné un appareil instantané à retardement pour se donner bonne conscience de laisser Liz vagabonder selon sa volonté. Elle avait couru une bonne vingtaine de minutes, tellement excitée de montrer cet appareil à son ami. Il était apparu, joyeux de la voir comme chaque après midi. Un grand hippogriffe mâle, effronté, sauvage qui s'était pris d'affection pour ce qu'il considérait comme une petite erreur de la nature, Liz. Elle avait mis l'appareil face à eux et il avait fixé à jamais la jeune fille rayonnante sur le dos de son ami, paré au décollage. Liz sentit ses yeux s'embuer. Le moment de leurs adieu avait été si précipité, si soudain. Il avait tout compris à sa démarche, à son regard. Une larme lui avait échappé. Mais ne méritait il pas une larme, lui qui avait tout partagé avec elle depuis des temps immémoriaux? La dernière ballade au dessus des paysages africains avait été la plus belle. Une promesse. De retrouvailles, un jour...?Liz... Parles nous de l'Afrique. Comment c'est l'école la-bas ? Est-ce que vous êtes aussi répartis dans des maisons ? -?Plongée dans ses souvenirs, Liz ne s'était pas aperçue que Roy enlaçait Claire et que celle ci désirait en savoir plus sur elle. Elle s'essuya vite les yeux, craignant que son trouble soit perceptible. Elle décida d'être sincère envers ...L'Afrique..C'est...Merveilleux. L'école est immense, il n'ya pas de familles, le directeur pensait que ça ne faisait qu'écarter les personnes les unes des autres, mais il y a peu d'élèves. L'école était tout près de ma maison, il n'existait aucune barrière, il n'y avait pas de parc , directement la forêt, et on pouvait rencontrer toute sorte d'animaux, de plantes de toutes les couleurs. Nul besoin de chaussures ou de Pantoufles, le sol était doux et chaud, les fruits abondants et... Liz prit conscience d'être prise par un brusque élan. Peur d'en avoir trop dit, de devenir trop vulnérable, elle se tu subitement, espérant que cela suffirait à que tu avais de bons amis la-bas... ? Tu vas garder contact avec eux... Apparemment non. Liz déglutit difficilement et fronça légèrement les de bons amis. Des amis très chers. Ils étaient peu..communs dira t-on. Elle eut un petit sourire et caressa du doigt la photo qu'elle tenait au creux de sa main. Ils vont me manquer. Sa voix manquait de sûreté il fallait qu'elle s'arrête de parler ou elle finirait par craquer tout simplement. Elle se mordit violemment la lèvre inférieure. La marchande de bonbons se présenta, Liz ne se le fit pas dire deux fois et se précipita au devant d' chocogrenouille murmura t-elle en triturant la photo qui lui brûlait la paume. InvitéInvitéSujet Re C'est reparti pour un tour... Lun 3 Déc 2007 - 441 Le topic est il toujours d'actualité ? Si oui je supprimerez mon post. Sans réponse sous une semaine je deplacerais. Contenu sponsoriséSujet Re C'est reparti pour un tour... C'est reparti pour un tour... Page 1 sur 1 Sujets similaires» Viens faire un tour dans la tour XD mouarf... [PV Sabotage pour les Gryffondor! [Libre pour Serpy!]» Petit tour au pub [pv Seth]» Une chanson pour toi... ^_^Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLIS™ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Cest souvent le dernier mot; C'est souvent le dernier qui compte; C'est souvent le fort qui est à la merci du faible; C'est souvent le lacet du montagnard; C'est souvent le temps de l'été; C'est souvent lui le sapin de noël; C'est souvent lui que l'on fait trinquer même s'il n'est pas là ; C'est souvent nous; C'est souvent pour du beurre
Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Allée des EmbrumesAnna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Mar 19 Juil - 2125 PV avec Nathalie Matthews Il était tard, cette nuit là , lorsqu'Anna et son accompagnateur traînaient dans les rues du Chemin de Traverse. Tellement tard qu'il n'y a avait presque personne autour d'eux. Les rues étaient quasiment toutes vides, un vent glacial refroidissait la peau de la jeune Auror en formation. Habillée d'une robe noir en dentelles, une petite veste de la même couleur ainsi que de longues bottes en cuir elle marchait au bras d'un homme, qu'elle ne qualifierait pas vraiment de charmant, d'un pas lent et silencieux. Ses fins collants ne suffisaient absolument pas à conserver la chaleur de son corps tellement la nuit était fraîche. Bref, elle arborait une tenue qui ne lui était pas habituelle. Qui plus est elle avait récemment utilisé une formule permettant de troquer ses magnifiques cheveux blonds en une sombre chevelure noire et ses yeux d'un bleu pétillant étaient maintenant vert émeraude. Quiconque l'avait déjà croisé auparavant ne l'aurait jamais reconnue dans cette pénombre. Anna, ce soir là Le jeune homme et elle entrèrent maintenant dans l'Allée des Embrumes. C'était un coin qu'elle commençait à connaitre depuis les quelques semaines où elle avait fait la connaissance de Sorel. Mais malgré tout, elle n'aimait toujours pas y mettre les pieds. La rue paraissait toujours plus sombre que les autres, toujours plus sale et toujours plus glauque. L'ambiance y était en permanence pesante et elle craignait toujours de se faire repérer par quelqu'un, même si c'était fort peu probable. Cette homme était suspecté, depuis déjà un moment, de faire parti d'un groupe de Mangemorts. Les Aurors, ayant pour but de les démasquer les uns après les autres, avaient décidé d'en suivre quelques uns. Anna s'était tout naturellement portée volontaire pour s'infiltrer auprès de Sorel et se faire passer pour une adepte de la magie noire afin de découvrir si cet homme était vraiment l'un d'entre soir, il avait décidé de l'emmener dans un endroit tout particulier qu'il appelait "le centre". Il lui en avait déjà parlé depuis quelques jours et elle s'impatientait de voir ce qui se cachait sous ce nom. Tout en se dirigeant un peu plus haut dans la rue malfamé, le sorcier prit Anna par la main d'une façon plutôt brutale. Celle-ci, surprise, la retira immédiatement et commença à se gratter la tête histoire que son attitude passe inaperçu... Elle savait qu'il n'était pas insensible à ses charmes, mais tout d'même, il ne fallait pas trop pousser "l'infiltration" sans mauvais jeux de mots. Il s'arrêta, la regardant dans la pénombre et finit par hausser les épaules pour continuer sa route, la jeune blonde brune à ses côtés. Ils entrèrent ensemble dans une maison des plus lugubres aux allures de taverne et Anna, regardant en l'air le nom du lieu, se prit de plein fouet la porte. Oubliait-elle que la galanterie chez cet énergumène était quelque chose de peu commun ?Une fois le seuil de la porte passé, elle put voir qu'il s'agissait effectivement d'une taverne. Et le mot n'était pas mal choisit. En regardant les nombreuses personnes qui y étaient installées elle eut l'impression d'être revenue au Moyen-Âge. Une ambiance des plus sordides emplissait ce lieu des jeunes femmes dévergondées avec un balcon bien chargé trônaient sur les genoux d'hommes complètement saouls qui parlaient bien trop fort, d'autres étaient simplement assis à siroter leurs boissons en regardant autour d'eux comme s'ils allaient se faire attaquer au moindre faux mouvement. Elle vit même un pauvre homme assis au pied d'un mur, parlant à sa baguette. Tu m'vends du rêve là ... »Elle s'était approchée de Sorel, s'imaginant peut-être qu'il la protégerait si un de ces fous furieux venaient à lui sauter dessus pour on-ne-sait-quelle-raison. Que nenni, elle n'eut droit qu'à un vulgaire "Quoi ? Ca t'plait pas ?" puis il finit par s'installer au bar en lui faisant un signe du menton vers le tabouret à côté de lui. Elle s'y installa et mit les mains sur le comtoir, tapotant ses doigts contre le bois brut de celui-ci. Elle commanda un cocktail maison qu'elle regretta amèrement par la suite puis se retourna discrètement. Quelque chose n'allait pas... Elle se sentait comme épiée, observée... Après tout, cet endroit la rendait certainement complètement paranoïaque. Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis étonnée. »Il se retourna vers elle et la scruta de haut en bas, comme s'il essayait de découvrir quelque chose. Il sirota un peu de sa mixture immonde et regarda le barman qui arborait un sourire lui donnant un air sadique. Cela ne lui disait rien qui vaille mais qu'importe, autant aller jusqu'au bout. Ce n'est pas exactement ça. Tu verras bien plus tard ma jolie. »Elle détestait quand il l'appelait par ce genre de petit surnom débile. Entendre des "ma jolie", "poulette" et autres "poupée" tout au long de la journée commençait à lui taper sur le système. Difficile, dans ces moments là , de se dire que c'était pour la bonne cause. Même si depuis ces différentes semaines, elle n'avait absolument rien trouvé qui pouvait lui permettre de continuer dans le sens "Sorel = Mangemort", c'est d'ailleurs ce qui la désespérait le plus dans toute cette affaire. Il lui mit la main sur la cuisse et elle croisa les jambes pour la retirer rapidement. Il devenait, depuis quelques jours, beaucoup trop entreprenant et collant. Anna se disait qu'il valait peut-être mieux mettre fin à cette filature incessamment sous peu car s'il continuait dans cette voie là , elle allait bientôt terminé sous la couette de cet immonde personnage. Elle eut un frisson rien qu'a l'idée d'y penser et bu une gorgée de sa boisson qui lui donna encore plus envie de vomir. Tournant légèrement sur son siège afin que ses jambes ne soient plus à la portée de Sorel, elle se retourna une dernière fois, histoire d'être certaine que personne ne l'observait, malgré son mauvais édition par Anna Ride le Jeu 28 Juil - 018, édité 1 fois Invité Re Minuit, l'heure du le Jeu 21 Juil - 1710 Cela faisait maintenant quelques jours que Nathalie travaillait au Quartier Général de l’Ordre du Phénix sur des dossiers de personnes pouvant être mangemort. Oh, naturellement, elle n’avait que des soupçons et ne pouvait encore rien prouver mais elle y trouvait une raison pour faire une filature. Si elle en avait parlé aux autres ? Seulement à Mione, car elle n’avait rien de bien sérieux pour le moment et elle allait souvent trouver cette dernière pour des conseils lorsqu’elle ne savait pas quoi faire. D’accord, ce n’était pas très prudent, mais Nathalie ne pouvait rien dire tant qu’elle n’était sûre de rien. Pourquoi ? Pour ne pas donner de faux espoirs, pour ne pas passer pour la dernière des imbéciles poursuivant quelqu’un pour rien. Ces derniers temps, tout était très instable et il lui fallait redoubler de prudence, elle n’avait pas droit à la moindre erreur. Peut-être qu’une bonne nouvelle remonterait le moral des troupes ? Ou même le sien, d’ailleurs…C’est donc remplie de doutes mais décidée à clarifier certaines choses que Nathalie sortit du Quartier Général, habillée comme en plein hiver ; des bottines remontant jusqu’au-dessous des genoux, un jean bleu-gris, un chemisier blanc, un gilet noir, une écharpe rouge-bordeaux et, naturellement, sa cape noire. Si cela était surprenant ? Pas du tout ! Il était près de minuit et tout le monde sait qu’il a beau faire chaud la journée, le froid se charge de chasser la chaleur une fois la nuit tombée pour rappeler son existence. Ce n’était pas trop désagréable, surtout avec toutes ces couches, mais Nathalie avait soudainement une profonde mélancolie, ou tristesse, à vous de voir, par rapport aux sans-abris. Ils devaient mourir de froid et rien que le fait de passer devant l’un deux le lui fit remarquer. Un sorcier ? Non, un moldu. Elle était passée par les rues moldues pour pouvoir rejoindre la cachette tant convoitée par les mages noirs, même si elle aurait pu passer par les quartiers sorciers sans le moindre problème. Pourquoi ne pas l’avoir fait ? Tout simplement pour éviter d’attirer les regards sur elle, pour éviter que quelqu’un la connaissant ne la surprenne dans la rue où elle se les rues étaient désertes. Les sorciers et moldus dormaient tous paisiblement, sans soupçonner la présence de mangemorts, ou même de mages noirs, dangereux dans les environs. Regardant à travers une fenêtre, Nathalie remarqua un couple endormi dans un divan avec un enfant dans les bras de la jeune femme – sûrement la mère. Ils n’avaient pas l’air terrifiés, ils semblaient seulement… Calmes. Mais comment pouvaient-ils l’être avec le Ministère de la Magie ? Ils n’étaient donc pas touchés par toute cette histoire ? Ils ne craignaient pas d’être, un jour, privés de leurs pouvoirs sous prétexte du mauvais sang » coulant dans leurs veines ? Bon, d’accord, elle allait un peu loin dans ses suppositions mais elle ne se souvenait plus de la dernière nuit qu’elle avait passée sans stresser, sans s’inquiéter. Mais elle ne devait pas oublier que, contrairement à cette famille de sorciers, elle était au centre de l’action, à combattre le Mal tous les jours, elle voyait tout à chaque fois et pas uniquement ce que les journaux donnaient à voir. La censure de la presse… Sans doute la presse était-elle contrôlée par le Ministère elle aussi ?Voilà . L’Ex-Gryffondor était arrivée à destination. Pour commencer ses recherches et trouver la personne qu’elle voulait, rien de mieux que l’Allée des Embrumes, le lieu de rassemblement de tous les mages noirs. Elle ne savait pas où exactement chercher dans cette allée mais elle guère de temps ne lui fut nécessaire Sorel, le sorcier qu’elle espionnait, se trouvait à quelques mètres d’elle, accompagné d’une femme à l’allure étrange, mais peu sûre d’elle après vérification. L’homme prénommé Sorel était habillé tout de noir, dégageait une odeur nauséabonde et avait une barbe de cinq jours facilement. La jeune femme, quant à elle, avait des cheveux bruns assez longs, était de la même taille de Nathalie à première vue et de corpulence relativement mince. Deux personnes ? Ce n’était pas prévu au programme, mais il fallait s’adapter. Ils passèrent tout près d’elle et continuèrent leur chemin. Une fois assez éloignés, elle se mit à leur poursuite le plus calmement possible et les vit, de justesse, entrer dans un bar dont l’écriteau était… Rouillé ? Oui, cela ressemblait à de la rouille. Le bâtiment était également rongé par les termites et noir de poussière. L’envie d’entrer là -dedans n’était vraiment pas au rendez-vous mais… Avait-elle le choix ?L’inconnue – Dis-moi, c'est juste ça , le centre ? Je suis étonnée. »Entrant, Nathalie s’installa à la table la plus proche possible des deux personnes citées plus haut, cachant son visage grâce à la capuche de sa cape – il faut dire qu’elle est connue chez les mangemorts, ce n’est pas le moment de se faire repérer. Elle essayait d’entendre la discussion qu’ils avaient, ils parlaient d’un centre »… Qu’était-ce ? De plus, la voix de la jeune femme n’était pas inconnue à l’Ex-Gryffondor, peut-être s’était-elle trompée de cible ? Elle ne savait plus où elle avait entendu cette voix, mais ce timbre lui semblait familier. De loin, je l’avoue, mais cela ne changeait pas grand-chose. Puis, sans crier gare, le barman s’approcha d’elle en lui demandant ce qu’elle prenait. Commander quelque chose ici ? Hors de question ! Elle avait pris un journal pour se cacher et fit simplement un geste négligeant, lassé de la main pour faire partir le sorcier. Quand elle releva la tête, ils n’étaient plus là . Pourtant, ils n’étaient pas dehors, elle en était sûre. Ses doutes furent confirmés une bonne demi-heure après Sorel et la jeune femme sortirent d’elle-ne-savait-où et firent un signe en guise d’au revoir au barman avant de sortir du dépêchant de sortir quelques minutes après pour ne pas paraître suspecte, Nathalie marcha à vive allure pour essayer de rattraper les sorciers qu’elle venait de voir tourner au coin de la rue. Une fois arrivée à ce même coin, elle s’arrêta net en les voyant contre le mur, forts proches. Sortaient-ils ensemble ? Ou alors la jeune femme menaçait-elle Sorel et Nathalie s’était alors trompée ? Mais pas le temps de réfléchir, il fallait agir. La nuit était glaciale, l’atmosphère également et, pour couronner le tout, elle sentait comme une sueur froide l’envahir à mesure que le temps passait elle ne savait plus qui suivre. Et voilà qu’ils bougeaient, et se séparaient qui plus est ! Ni une ni deux, elle continua la rue en suivant seulement Sorel à petits pas précipités. Elle avait perdu la jeune femme. Où était-elle passée ? Bizarrement, l’Ex-Gryffondor se sentait épiée, peut-être même démasquée à cause de son refus de commander dans le bar. Ou peut-être n’avait-elle pas été assez discrète lorsqu’elle s’était arrêtée net ? Quoi qu’il en soit, sa baguette n’était pas loin, son visage était caché, Mione était prévenue. Elle ne risquait… Presque rien. Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 24 Juil - 1435 Trempant le bout de ses lèvres dans la boisson répugnante elle remarqua que Sorel et le barman discutaient silencieusement. Faisant mine de ne pas s'y intéresser, Anna tourna un peu la tête pour écouter ce qu'il se tramait entre les deux énergumènes. Mais les clients du bar étaient bien trop bruyant alors elle n'entendit pas grand chose, voire rien du tout.** Mais ça n'va servir à rien cette sortie là ... **Elle pensait qu'il était peut-être préférable de rentrer. De toute façon elle n'allait certainement rien apprendre de plus ce soir. Si c'était pour se taper des boissons aux couleurs bizarres toute la soirée, autant qu'elle parte. Elle se tourna vers Sorel pour lui dire qu'elle était impatiente et qu'elle voulait quitter les lieux. Mais il ne lui laissa pas le temps d'ouvrir la bouche et lui saisit le poignet pour l'emmener derrière le comptoir où une petite porte était dissimulée. Hé oh, tu m'fais mal ! »Mon dieu, qu'allait-ils faire d'elle là d'dans ? Anna et les deux compères descendirent des marches d'un pas rapide dans un couloir étroit et humide. Une pauvre ampoule éclairait celui-ci et donnait un air lugubre à cet endroit. Arrivés en bas des marches, Sorel lâcha le poignet de la jeune femme et pointa sa baguette en hauteur. On ne voyait rien, rien du tout de ce qu'il y avait là où ils étaient à présent. Un sortilège informulé fit soudainement apparaître tout le contenu de cette pièce... Et quelle ne fût pas la surprise de la jeune Auror en formation lorsqu'elle remarqua ce qu'il se tramait dans les sous-sols de cette elfes de maisons par dizaines étaient en train de travailler à la chaine, un esclavagisme sans précédent qu'Anna n'avait jamais vu auparavant. Ils étaient sales, dénutris et avaient l'air bien faible. Que faisaient-ils là ? Pourquoi ? Que fabriquaient-ils ? Que... Qu'est-ce qu'ils font ? »Anna avait la gorge serrée, voir toutes ces pauvres créatures maltraitées lui faisait de la peine. Elle n'avait qu'une envie tous les délivrer de leur fidélités envers ces immondes personnages. Elle regarda Sorel avec un air interrogateur, essayant de garder son sang froid. Il lui expliqua qu'ici, ils fabriquaient de faux objets de magie noire pour les revendre à un prix hors du commun aux plus naïfs. Les elfes travaillaient sur des capes d'invisibilité foireuses, des armes magiques déficientes. Les trafiquants comptaient mettre à profit leur manigance pour se faire énormément d'argent. C'était ridicule ! Ils ne pensaient donc pas aux représailles de tous ces sorciers qui allaient leur acheter tout ça, se rendant compte par la suite que ce n'était qu'une piètre copie ? Ils étaient complètement inconscients... De simples petites falsifications, voilà ce qu'ils faisaient. Je pense que la demoiselle en a assez vu. On s'en va. »Sorel poussa la blondinette-devenue-brune hors de la pièce, en direction des escaliers. Elle remonta rapidement les marches et ouvrit la porte pour se retrouver à nouveau derrière le comptoir. Le sorcier fit un signe de main au barman en guise d’au revoir et indiqua à Anna la sortie, d'un coup de menton. Quelque chose n'était pas normal... Avait-il découvert qu'elle n'était pas ce qu'elle semblait ? Inquiète, elle suivit Sorel qui tourna au coin d'une rue sombre en réfléchissant à comment elle pourrait bien se sortir de cette mêlasse. Il la plaqua contre un mur, se mit en face d'elle et mit sa main droite à côté de son visage, contre la pierre froide. Son visage était à quelques centimètres d'Anna, elle pouvait sentir son haleine chaude et puante. Un jour, elle lui apprendrait à se laver les dents plus d'une fois par mois. Si je découvre que tu as parlé de tout ça à quelqu'un, je te tue. Tu sais que je n'plaisante pas, n'est-ce pas ? »Il avait prit un ton arrogant et accusateur, la regardant avec des yeux pétillant de menace. Elle hocha la tête, sans un mot, lui montrant qu'elle avait effectivement bien compris. Il approcha son visage un peu plus du sien. Elle crut d'abord qu'il allait poser ses lèvres dégoûtantes sur les siennes mais celles-ci se dirigèrent vers son oreille droite il lui murmura quelques mots. Quelqu'un les suivait, d'après ce qu'il disait. Anna jeta un rapide coup d'oeil sur sa droite et remarqua une ombre un peu plus haut dans la rue. Elle pensa directement à un sorcier qui avait dû acheter quelque chose à Sorel et qui voulait se venger. Il lui ordonna de s'en aller, il devait se séparer et attaquer cet individu par surprise. Pardon ?! Attaquer ?! Non mais non, elle n'avait pas le droit de faire ça, elle n'était pas encore apte à ... Le sorcier ne lui laissa pas le temps de réfléchir et commença à se séparer d'elle pour continuer à avancer dans la ruelle. Quant à Anna, elle se dirigea d'un pas précipité dans une rue en parallèle. Qui était donc cette personne ? Il fallait qu'elle sache. Contournant le petit pâté de maison, elle finit par se retrouver à nouveau au bout de la ruelle où elle était quelques secondes plus tôt avec Sorel. Marchant d'un pas silencieux derrière l'inconnu, elle le suivait à quelques mètres. Hm, il avait donc décidé de suivre le sorcier. La première impression d'Anna sur le fait qu'il devait sûrement vouloir se venger semblait être la bonne. Intriguée, elle continua de suivre le cagoulé. Ou peut-être, au contraire, voulait-il acheter des choses au sorcier ? Tout en longeant les murs en pierres des maisons entourant la rue, elle shoota dans un caillou qui alla ricocher sur les pavés. Anna se rangea dans l'encadrement d'une porte, espérant ne pas s'être faite plusieurs minutes elle continua de suivre l'inconnu, jusqu'à ce qu'il tourne à l'angle d'une maison où elle le perdit de vue. Puis, pressant le pas pour rejoindre l'endroit qu'elle ne pouvait pas voir, elle vit une lueur et entendit un bruit sourd. Un sortilège ? Mince, il se passait quoi là ? L'inconnu avait attaqué Sorel ? Non... Peut-être était-ce l'inverse ? Elle ralentit et se colla contre contre la maison pour ne pas être vue, puis avança à petits pas jusqu’à l'angle. Elle attendait d'entendre un quelconque autre sortilège ou une discussion pouvant lui permettre de comprendre ce qui était en train de se passer. C'était un peu le bordel, si jamais sa Chef apprenait qu'elle s'était mise dans cette situation sans sa permission, elle allait se faire taper sur les doigts. Invité Re Minuit, l'heure du le Ven 29 Juil - 009 Nathalie continuait de suivre Sorel, après son étrange séparation d’avec la jeune femme. Elle avait l’impression de courir droit vers un guet-apens sans même avoir pris une seule mesure de protection. Pourquoi ne pas avoir suivi la jeune femme qu’elle avait vu rôder avec son suspect » ? Peut-être savait-elle des choses, et cela aurait évité à l’Ex-Gryffondor de prendre de tels risques. Enfin, elle ne pouvait revenir en arrière, elle devait aller jusqu’au bout et suivre cet homme pour savoir où il se rendait avec autant de rapidité. A vrai dire, elle hésitait à continuer. Peut-être valait-il mieux revenir un autre jour ? Venir sous Polynectar pour ne pas se faire repérer aussi bêtement que cela ? Elle ne savait réellement pas quoi faire, mais pourtant, ses jambes continuaient. Elles la faisaient avancer, encore et cette impression d’être suivie ne quittait pas Nathalie. La jeune femme qui était avec Sorel était-elle restée dans le coin ? L’avaient-ils grillée depuis le début, lorsqu’elle s’était arrêtée net sans prendre garde à qui la verrait ? Sorel marchait encore, continuait à s’enfoncer dans les ruelles sombres et morbides, voire presque glauques. Il le faisait exprès, ce n’était pas possible autrement. Elle était presque sûre d’avoir été repérée depuis un bon moment et ils ne la faisaient marcher que pour avoir toutes leurs chances de l’avoir lorsqu’ils s’arrêteraient enfin, et qu’elle non parce que prise dans son élan. Tout cela pris en considération, elle pouvait continuer et avait déjà sorti sa baguette pour attaquer au moindre sort jeté contre elle. La moindre lumière jaillissante vers elle, elle riposterait, elle était prête. Surtout que, à peine deux minutes après cette prise de décision, elle entendit un pied fouler le sol avec un manque de délicatesse évident il avait fait bouger une pierre sans grand ménagement. Elle avait donc bel et bien raison ils ne s’étaient séparés que pour mieux se présent sûre et certaine d’être en train de foncer droit vers un piège, Nathalie ferma les yeux quelques secondes et tourna à l’angle d’un énième mur où elle tomba nez à nez avec… Sorel. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, un sortilège fusa en la direction de la jeune femme qui riposta automatiquement avec un Reversus. Ce qui eut pour effet de mettre temporairement le suspect » chaos car il ne s’attendait pas à rencontrer une quelconque résistance. L’Ex-Gryffondor s’empressa d’aller près de lui, le prenant alors par le cou avec sa baguette pointée dessus. Ce qu’elle attendait ? La jeune femme qui était avec lui, bien sûr. Elle était certaine que la personne qui avait passé son temps à la suivre, pendant qu’elle-même suivait Sorel, n’était autre que la jeune inconnue. Mais que faire ensuite ? Ils avaient l’air de s’apprécier, et beaucoup, mais du pur chantage serait stupide étant donné qu’elle n’avait pas grand-chose à échanger. Echanger Sorel contre quoi ? Des réponses, bien sûr !Des pas ne tardèrent pas à se faire entendre. Elle approchait. Enfin. Peut-être que suivre Sorel n’avait pas été une si mauvaise idée en fin de compte, puisqu’elle aurait sans doute ce qu’elle voulait si ses soupçons étaient fondés. Peu de temps après, une silhouette apparut en s’arrêtant presqu’aussitôt à la vision de Nathalie tenant son être aimé. Dans la pénombre, la réaction de la jeune femme était relativement difficile à observer, mais pendant une fraction de seconde, l’Ex-Gryffondor crut voir du… Soulagement ? Pourquoi cette inconnue serait soulagée de la situation ? Son conjoint était tout de même dans une mauvaise posture, elle aurait dû être terrifiée, voire en colère ! Quelque chose ne tournait pas rond, peut-être était-ce un autre piège et Nathalie s’était fait avoir comme une débutante, s’il avait utilisé un clone. Mais un clone n’aurait pas réagi, un clone ne se serait pas débattu comme le faisait ici Sorel ? Si ? Du calme ! Les choses se déroulaient parfaitement bien, elle avait adapté son jeu à la situation et tout s’arrangeait, même si le dénouement était quelque peu – Bon, voilà ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en échange de quelques réponses à mes questions. Et arrêtez de me prendre pour une débutante, j’ai de l’entraînement, donc pas de coup ne restait plus qu’à attendre la réponse de la jeune femme se trouvant en face d’elle. Le ton de sa voix avait été assez froid, ce qui ne la ressemblait guère, mais Nathalie n’avait pas le choix. De plus, le visage de la jeune femme ne lui était pas étranger à cent pour cent. Où avait-elle bien pu le voir ? Peut-être pas les cheveux, les yeux, le visage en entier, mais… Certains traits ne lui étaient pas inconnus. Où avait-elle bien pu voir ce visage ? Pourtant, cette voix, jamais elle ne l’avait entendue. Elle en était sûre. Ou presque. Dans quelques secondes, elle serait fixée. Il fallait dire que c’était là son seul échappatoire, sinon elle ne savait comment s’en sortir. Mais après ? Une fois qu’elle aurait ses réponses, comment s’échapper ? Un elfe ? Ou le Gallion d’Urgence ? Ils n’allaient pas la laisser partir comme cela. Mais pour l’instant, attendons…[HJ Voilà . Désolée, RP pourri de chez pourri, je l’aime pas du tout T_T J’ai essayé de trouver un dénouement intéressant à explorer et te laissant le choix de trahir ou pas, donc à toi de voir. Promis, je me rattrape au prochain !] Anna RidePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Ride, le Dim 31 Juil - 1610 Collée contre le mur, l'Auror en formation n'entendait plus un bruit. Que devait-elle faire ? Foncer dans le tas quitte à se faire repérer auprès de l'inconnu ? Ou bien devait-elle simplement rester en retrait ? L'affaire était devenue compliquée. Non seulement elle ne pouvait pas combattre avec de Sorel étant donné qu'elle n'était pas du côté obscur de la force magie, mais elle ne savait pas non plus ce que représentait l'homme ou la femme qu'elle était en train de suivre et ne pouvait donc pas, en conséquence, combattre contre le mage se déroba finalement du mur où elle était accolée et se mit à découvert. Analysant rapidement la situation elle constata que le sorcier était en piètre posture. L'inconnu le tenait par la peau du cou, pointant sa baguette sous son menton. De prime abord tendue, l'ex-blonde finit par baisser ses épaules en étant presque soulagée. Au moins, elle n'aurait pas à attaquer la personne se cachant derrière cette capuche. Bon, mais maintenant, que devait-elle faire au juste ? Si elle défendait Sorel, elle risquait fortement de mettre en colère l'encapuchonné. Mais si elle se mettait de son côté, le trafiquant verrait clair dans son jeu et elle ne donnait pas cher de sa peau. Bon, voilà ce que je propose. Je vous rends votre compagnon en échange de quelques réponses à mes questions. Et arrêtez de me prendre pour une débutante, j’ai de l’entraînement, donc pas de coup fourré. »Une voix féminine vint percer le silence de l'ambiance oppressante qui régnait entre les trois protagonistes. Oh, l'inconnu était donc une inconnue. Mais qu'avait-elle insinuer là ? Son compagnon ? Elle avait dû mal regarder l'allure et le visage de l'homme qu'elle tenait entre ses mains. Peut-être avait-elle simplement cru qu'ils se bécotaient lorsqu'ils étaient contre le mur... Erk, quelle horreur. Ne sachant trop que faire et étant dans une position des plus désavantageuse, elle se mit à réfléchir aux options qui s'offraient à elle. Elle ne pouvait décidément pas répondre aux questions de la jeune femme étant donné qu'elle dévoilerait sa condition d'Auror et c'était impensable. Elle n'avait pas spécialement envie de récupérer Sorel, par ailleurs, car elle venait de découvrir qu'il n'était pas ce qu'il semblait être. Tout en pesant le pour et le contre, elle empoigna sa baguette dans sa poche, tout en s'obligeant à rester des plus discrètes. Certes, elle n'avait pas le droit d'engager les combats, mais rien ne lui interdisait de se défendre si quelqu'un venait à lui jeter un sortilège. Mais ça, la demoiselle sous la capuche n'était pas censée le savoir étant donné qu'elle la prenait pour quelqu'un d' sûre et certaine qu'elle allait regretter son geste à venir, elle pria de toutes ses forces pour ne pas se faire tuer. Bah ouais, elle était trop jeune pour mourir bêtement en s'étant mise elle-même dans cette mêlasse. D'un geste brusque et rapide elle pointa sa baguette en bois clair sur l'inconnue. Elle pût rapidement constater sous la lumière d'une vieux lampadaire que Sorel esquissa un sourire de satisfaction, s'imaginant peut-être que les deux jeunes femmes allaient se battre. Ce qu'elle venait de faire était un peu kamikaze étant donné que la jeune femme retenant le sorcier avait l'air d'avoir de l'expérience. Mais qui ne tente rien n'a rien. Je n'ai pas dans l'intention de répondre à vos questions. Laissez-moi partir, c'est lui qui vous intéresse, non ? »Bon, elle avait à moitié choisi son camp, finalement. Les yeux du mage noir devinrent noirs de fureur. Il devait certainement se sentir trahi par la brune avec qui il avait passé du temps depuis plusieurs semaines. Bien qu'un peu sonné - la jeune sorcière sous sa cape avait dû lui jeter un sort tout à l'heure - il se mit à fulminer quelques insultes en direction de la Poufsouffle. Bah quoi ? Après tout, elle avait eu ce qu'elle voulait et n'avait plus du tout envie de se mêler de cette histoire. Qui pouvait bien être la jeune femme ne lui intimait guère. Quoiqu'elle se demandait bien pourquoi elle avait attaquer si soudainement. Et quelles étaient donc toutes ces questions qu'elle souhaitait poser ? Impossible qu'elle soit, elle aussi, en train de prendre en filature le sorcier...De plus en plus inquiète par la tournure que prenait les choses, elle ne put s'empêcher de faire quelques pas en arrière pour rebrousser chemin, tout en gardant sa baguette droit sur l'inconnue. Après tout, il était fort probable que la demoiselle voulait simplement arracher les tripes du mage noir tout en s'occupant de sa "compagne" après coup. Mais pourquoi avait-elle acceptée cette mission, pourquoi ?! Rah, il fallait toujours qu'elle accumule les brise légère et glaciale vint ponctuer ce moment de tension et, profitant d'un probable moment d’inattention de la part de l'encapuchonnée, Sorel se dégagea des bras de la sorcière et se planta sur ses deux pieds, pointant à son tour sa baguette dans sa direction. Ils étaient donc deux, à pointer vers elle leur morceau de bois magique et il était fort probable pour que le sorcier n'attende pas très longtemps pour attaquer. Un peu prise de court, Anna ne savait plus si elle devait continuer de viser la jeune femme ou s'il fallait plutôt qu'elle s'intéresse à son accompagnateur. Se mordillant la lèvre inférieur, elle finit par détourner son angle de tir de quelques centimètres afin de le diriger vers Sorel. Celui-ci n'en fut que plus énervé, hurla un "Tu te fous de moi ou quoi ?! Sale garce !" et ne mit pas longtemps pour se mettre à viser la jeune Auror en formation. Paniquée et complètement dépassée par les évènements, elle espéra l'espace de quelques instants que le sorcier n'attaque pas et que la demoiselle dont il s'était échapper allait finir par comprendre que, non, ils n'étaient pas amants.[HRP J'ai fait ce que j'ai pu, je ne suis pas très fière de ce RP mais bon. J'espère que la fin ne te déplait pas trop, sinon tu me dis 3] Invité Re Minuit, l'heure du le Mer 10 Aoû - 2331 [HJ Voilà , à mon tour de m’excuser pour la petite attente ^^ Et, pour la précision, je considère que le RP pas super méga génial, désolée >< Si tu n'as pas d'idée pour répondre, MP et j'éditerai demain =]Inconnue – Je fais partie d'une organisation. Vous aussi, à ce que je vois. Pour qui travaillez-vous ?Pardon ?! Ouhlà , il y avait comme un problème inattendu. Jamais Nathalie n’aurait pensé que cette jeune femme faisait partie d’une organisation. Et, à sa connaissance, il n’y avait que les Aurors qui étaient illégaux et qui pouvaient donc se prétendre comme en étant une. Cette inconnue était donc sûrement une Auror, ce qui expliquait son allure familière. Mais ses cheveux étaient différents, de même pour ses yeux sans doute. Mais la jeune femme n'était sûre de rien. Cependant, dans cette optique, tout s'expliquait. C’était pour cela qu’elle ne l’avait pas reconnue plus tôt, qu’elle avait pensé croiser une nouvelle mangemorte ou future mangemorte. Pour l’instant, la chef de l’Ordre du Phénix s’était mise dans de beaux draps. Elle ne pouvait rien dire sans prendre le risque de mourir, surtout vu son statut. Elle allait répondre à l’Auror lorsque, soudain, une bourrasque de vent faillit faire tomber la capuche qui permet de camoufler son visage. Directement, Nathalie tourna la tête et se recula de manière à être totalement dans le noir, remettant sa capuche sur sa tête, et dit Nathalie – Expelliarmus ! Non. Je ne peux rien dire et je ne dirai rien. D’ailleurs, si vous faites partie d’une… organisation, comme vous dites, que faites-vous ici ? Ce n’est pas vraiment un endroit fait pour quelqu’un comme paroles de Nathalie laissaient croire qu’elle ne croyait pas un seul mot de ceux que la jeune femme en face d’elle avait prononcé. Bien sûr, elle avait tout deviné et le sous-entendait très fortement mais si elle pouvait, à son tour, déstabiliser l’Auror et lui faire peur… Pourquoi pas ? Il fallait trouver un compromis. Peut-être que l’Auror n’avait rien à perdre, mais elle voulait sûrement que certains détails restent secrets. Et la jeune femme l’avait suivie pendant un bon moment, elle avait pu voir pas mal de choses et en avait entendu encore davantage. L’une comme l’autre était dans le pétrin, elles ne pouvaient donc que trouver un terrain d’entente pour protéger leur identité, leur appartenance à un quelconque groupe et, surtout, leur présence en ces lieux on ne peut plus louches. Mais que dire, que proposer ? L’Ex-Gryffondor cherchait encore et encore à toute vitesse une solution pouvant convenir. Il fallait qu’elle pousse son adversaire » à accepter ce compromis, à se sentir menacée à son – Ecoutez. Je suis venue ici dans le seul but d’avoir des informations sur cet homme. Je ne voulais rien d’autre. Alors, répondez à mes quelques questions et j’oublie même jusqu’à votre présence en ces lieux. Cette discussion n’aura jamais existée et je ne vous aurais jamais vue. Vous avez autant à y perdre que moi si vous refusez cette que Nathalie disait était vraiment nul. Elle n’avait jamais su mentir, encore moins marchandé. Enfin, ici, elle ne disait que la vérité ; si jamais elle rentrait chez elle en s’en étant très mal sortie, elle allait enquêter sur cette jeune femme et tout révéler à sa chef. Elle savait qu’elle faisait partie des Aurors, ce qu’elle ignorait était son nom et son prénom. Mais l’Ex-Gryffondor avait beaucoup trop à perdre si elle se faisait prendre. Vous savez, ce défilement d’images lorsque l’on est sur le point de mourir ? Voilà ce qu’il se passait dans la tête de la jeune femme. Jamais elle ne devait révéler son identité à quelqu’un, elle devait se protéger coûte que coûte. Même si elle avait ses dons de legilimancie et d’occlumancie en horreur, s’il le fallait, elle les utiliserait. Mais jamais elle n’allait se trahir, elle ne pouvait trahir l’Ordre du Phénix de par la place qu’elle y occupait. Elle priait pour que l’Auror accepte le compromis, au risque de devoir lui dire qu’elle avait fait un Serment. Mais dévoiler une telle information risquait, cela aussi, de la trahir car certains mangemorts étaient au courant de cette histoire. Non, elle ne pouvait pas non plus. Mais partir ou s’attaquer tout simplement à cette Auror ? Si cela était nécessaire, Nathalie le ferait. Mélina KudersLégendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Ven 14 Oct - 1833 [RP avec Anaelle Etlyne]Le bruit de ses talons claquait sur les pavés de l'Allée des Embrumes, vêtue d'une cape noire, dont la capuche recouvrait sa tête et une bonne partie de son visage, seules quelques mèches de ses cheveux ondulés sortaient de sa capuche. Un léger vent s'était levé, en cette nuit de pleine lune, l'ancienne auror était assez pressée, elle avait un rendez-vous d'affaire, au bar des Ténèbres, avec la gérante, plus précisément. Cette dernière l'avait contacté par hibou, apparemment, elle avait besoin de ses talents de créatrice de potions...une histoire de cœur, d'après ce qu'avait sous entendu Miss Adams. La gérante du Sanglier Rieur ignorait totalement comment cette jeune femme avait entendu parlé d'elle...surtout que Mélina était loin de faire de la publicité, pour ce genre d'activité...pas très joli joli, pour un ancien membre du ministère...mais bon fallait bien qu'elle s'occupe et comme l'art des potions n'avait plus aucun secret pour elle...elle ne disait pas non, il lui suffisait de faire profil bas, en passant inaperçu...chose qui lui était très pour cette affaire, elle avait décidé de venir sous sa véritable apparence, elle savait qu'elle ne risquait rien, elle avait rendez-vous après la fermeture du bar, selon ses propres exigences car, elle ne voulait pas attirer les regards des autres clients, son portrait avait suffisamment la une des journaux... et pourquoi ne pas arriver sous une autre apparence? cela résoudrait bien des soucis, mais c'était une demande de la propriétaire qui connaissait son visage et qui pour des questions de confiance voulait être sur d'avoir affaire à la bonne personne et non un charlatant...oui bon cherchez pas comprendre....Dire que quelques mois plus tôt, elle aurait refusé de faire cela, afin d'éviter les problèmes de part ses fonctions de chef des aurors, aujourd'hui, elle s'en fichait complètement, elle n'avait de compte à rendre à personne et personne n'avait de compte à lui rendre, c'était fini. Si elle croisait une patrouille d'aurors de l'Allée des Embrumes, en train d'affronter une bande de voyoux, elle les laisserait certainement se débrouiller, dans la plus grande indifférence. Cela pourrait être très surprenant venant d'elle, surtout qu'elle aimait prendre part au combat et qu'elle connaissait de nombreux aurors qui étaient déjà en fonction, lorsqu'elle en faisait parti et dont certains étaient des amis proches...mais elle était dans sa phase égoïste telle une adolescente qui faisait sa crise, cette attitude, elle l'assumait...même si elle pouvait être mal arrivée à destination, elle entendit un bruit venant d'une ruelle environnante, est-ce un chat errant, des individus faisant affaire...elle l'ignorait, mais sa curiosité la fit faire marche arrière, une ombre sortit...la main sur sa baguette...elle attendit silencieux. Invité Re Minuit, l'heure du le Dim 16 Oct - 204 Assise sur un banc, à la seule lumière du clair de lune, une ombre se fondait doucement dans l’obscurité ambiante du village des sorciers, désert à cette heure-ci dans ce petit bout de parc éloigné du centre ville. Hormis un hululement d’un hibou qui se faisait entendre au loin, le silence régnait. Un silence lourd, pesant. Un silence jambes repliées sur son buste, la tête posée sur les bras posées sur ses genoux, Anaelle scrutait la lune d’un air absent, son regard tombant dans le vide de temps en temps. Plongée dans ses souvenirs, Anaelle avait un sourire triste, amer. Ces derniers temps, la jeune femme s’était faite plus discrète et s’était réfugié dans un cocon réconfortant crée par ses deux compères, Cliodhna et Damian leur maison, à tous les trois, loin de tout, dans un autre univers, le leur. Après tout ce qu’il s’était passé dans sa vie professionnelle et sentimentale, elle avait eu un besoin pressant de recul. Avec ce qu’il se passait avec Thomas et leur relation qui n'existait plus, malgré la souffrance évidente de la jeune femme, ce qu’il se passait chez les Aurors et au Ministère, Anaelle se sentait perdue face à ces évènements, totalement à la ramasse c’était sans doute la raison pour laquelle elle avait demandé une trêve à Celeste pour lui laisser le temps de repartir sur de bonnes bases, le temps d’être prête pour redevenir active et performante. Trop de choses s’étaient passés rapidement et trop de changements brutaux pour qu’elle puisse tout comprendre. Elle avait eut une attitude lâche, mais elle n’avait pas trouvé d’autres alternatives à sa détresse émotionnelle. Un vent frais se leva. Se recroquevillant sur elle-même, Anaelle ferma les yeux dans une crispation de douleur. Ses membres étaient maintenant engourdis et rester dans cette position avec ce froid n’était assurément pas une bonne chose pour elle. Levant les yeux vers la ruelle déserte, Anaelle décida que le temps à flâner ici était révolu. Se relevant doucement, Anaelle s’étira les jambes et chercha dans son sac un manteau pour tenter de se réchauffer. Le passant sur ses épaules, elle se leva dans un petit bond et se mit en route, ne sachant pas réellement où elle devait aller. Elle n’avait aucun endroit précis à l’esprit et elle préféra se référer à son instinct. Le visage baissée, les jambes lourdes, elle se laissa aller dans une ruelle sombre et peu fréquentable. Peut-être était-ce l’amertume qui lui faisait ignorer le danger, ou peut-être tout simplement son assurance en tant qu’Auror mais en tout cas, Anaelle ne s’était pas rendue compte que l’endroit était peu fréquentable et pour le moins assuré elle venait de pénétrer dans un des endroits les plus glauques du village des sorciers, l’allée des Embrumes. Marchant quelques pas, elle se rendit peu à peu compte de l’endroit où elle était tombée. Son instinct était-il pour le suicide, à ce moment précis ? Fronçant les sourcils, elle ralentit le pas et mis tous ces sens aux aguets. Il n’y avait pas, en ce moment, quelque chose à risquer, mais les sorciers étaient d’un naturel tellement imprévisible que la sorcière ne chercha pas à savoir si l’endroit était bel et bien vide avant de sortir sa baguette. Celle-ci était déjà dans la main de sa propriétaire qui la maintenait fermement dans sa main meurtrie par le froid être prête à tout moment était une bonne chose. Après seulement quelques pas, Anaelle entendit un craquement près d’elle. Ralentissant encore plus la cadence et ayant le souffle coupé, Anaelle tendit sa baguette, prête à attaquer la première elle connaissait que trop bien la réputation de cette ruelle, surtout à une heure si tardive. Après quelques instants d’attente et de suspens, Anaelle fit un bond en avant et pointa sa baguette sur la cause de ce bruit. Dans un petit bruit étouffé, une très petite silhouette trop petite pour être un adulte humain et vu l’heure, il ne s’agissait surement pas d’un enfant fit un bond en arrière en même temps qu’Anaelle apparaissait à ses yeux. Les yeux de la sorcière s’étant acclimatés depuis longtemps à la pénombre, elle pu facilement distinguer les traits de la créature face à elle. Avec un hoquet de surprise, Anaelle brisa le silence qui l’entourait depuis quelques heures Golum ! Qu’est ce que tu fiches ici, à cette heure ? Je ne t’avais pas dit de rester à la maison ? Golum, l’elfe de maison d’Anaelle, acheté des mois auparavant. Voyant la colère de sa maîtresse, le petit elfe s’inclina au plus bas et couina d’un air désolé. - Madame, Golum est tellement désolé… Mais Golum s’inquiétait pour Madame, vous savez ! Il se fait tard et à la maison… Tout le monde n’était pas rassuré. Golum venait voir s’il se passait quelque chose, alors il est venu…Voyant la détresse de son elfe suite au reproche qu’elle avait eu, Anaelle se pencha vers lui et lui fit un sourire d’excuse, bien qu’elle ne fût pas contente de le trouver ici à cette heure-ci. - Tout va bien Golum, je te le promets. J’ai juste eu envie de marcher un peu. Rentre maintenant, je ne tarderai pas, promis, elle lui tapota la tête et se redressa, hochant la tête pour souligner ses propos. Tu n’aurais tout de même pas du venir ici, file maintenant ! Et repose toi, j’aurai besoin de toi Mais Madame, Golum était vraiment..., voyant la mimique de sa maîtresse, l’elfe arrêta net sa phrase et s’inclina une nouvelle fois. D’accord Madame. Navré de vous avoir importuné. Mais faites attention, Madame, cet endroit est vraiment pas fréquentable pour une sorcière de votre rang. Au revoir, Madame…Une mimique agrippa le visage de la Blonde suite à cet éloge qu’il n’aurait pas du faire, Anaelle fronça les sourcils pour lui indiquer qu’elle n’était pas contente de sa dernière phrase elle détestait être cataloguée à un rang, quel qu’il soit et surtout, elle détestait recevoir des conseils de ce genre, surtout lorsqu’elle était aussi… lasse. S’inclinant une énième et dernière fois, l’elfe s’évapora dans un pouf » sonore en laissant Anaelle de retour à sa solitude et à son silence. Elle ne reprit sa marche qu’après une ou deux minutes de fixation de l'endroit où était anciennement l'elfe, peut-être plus. Elle pensait maintenant à la maison qui l’attendait et avait oublié qu’elle se trouvait dans l’allée des Embrumes. Elle se laissa alors aller, sa baguette baissée et son regard perdu vers le sol. Ce qui la ramena à la réalité fut un bruit de pas et de mouvement en sa direction. Reprenant tout de suite ses vieux réflexes, Anaelle leva son visage et tomba nez-à -nez avec une ombre encapuchonnée. Pensant tout de suite à un Mangemort, Anaelle fit un pas en arrière et se prépara à assaillir son adversaire. Portant son attention à ce qu’elle pouvait voir de son visage, elle ne put retenir le hoquet de surprise qui la saisit lorsqu’elle reconnut les formes du visage de l’ Mélina ! Amenant sa main à sa bouche, surprise d’avoir parlé aussi fort, Anaelle baissa alors doucement sa baguette. Il pouvait toujours s’agir de quelqu’un d’autre, mais un rapide coup d’œil sur ses vêtements et surtout, sur sa baguette, Anaelle fut rassurée sur l’identité de son adversaire ». La blonde se reprit et toussota doucement, se redressant tranquillement pour signifier qu’elle n’allait rien tenter contre son ancienne chef. - Ca fait bien longtemps qu’on ne s’est pas croisés, Mélina…Sa voix pouvait paraître froide, mais elle trahissait surtout un reproche de la blonde à l’ancienne Auror. Bien que Céleste avait su reprendre parfaitement le commandement des Aurors, Anaelle n’avait jamais pu digérer l’abandon » de la part de Mélina elle qui avait toujours été un modèle pour la jeune femme, elle était parti sans explication et sans chercher à reprendre réellement le contact avec elle. Certes, Anaelle comprenait les raisons du choix de la brune, mais elle avait vraiment subit ce départ comme un abandon, comme si, pour Mélina, les Aurors n’avaient jamais rien signifiés. Elle savait qu’elle se trompait, mais Anaelle avait toujours eu une certaine rancœur, non pas violente et meurtrière, mais plutôt affective Anaelle s’était sentie trahie par son ancienne chef sur qui elle avait toujours compté. La revoir, à ce moment là et à cette heure là , ne l’aidait pas à devenir compréhensive et tout un tas de questions se formulaient déjà dans son esprit, bien décidée, au même instant où elle l’avait reconnu, à ce qu’on lui rende ses comptes. Elle posa son regard, un regard lourd de reproche, sur celui de la jeune femme, ou du moins ce qu’elle pouvait en apercevoir et attendit que celle-ci parle. Tout ce qu’elle espérait maintenant, c’est que l'ex-Auror ne s’enfuit pas ou qu’elle parte comme si Anaelle n’avait eu jamais aucune importance pour elle. Mélina KudersLégendePoufsouffle Re Minuit, l'heure du Kuders, le Jeu 20 Oct - 2136 Son attente ne fut que de courte durée, dans la pénombre de la ruelle, de l'Allée des Embrumes, une silhouette fit son apparition...cependant, avant même qu'elle n'eut pu distinguer le visage de la personne qui venait de faire son apparition... cette personne prononça son prénom d'une manière très audible. La gérante du Sanglier Rieur fut surprise que cette jeune femme connaisse son nom et d'après le ton, elle était certain qu'elles se connaissaient même très bien.... Sur le coup, elle ne sut pas à qui elle avait à faire, ce timbre de voie lui était familier, mais vu son manque de communication...avec les personnes auxquelles elle tenait, elle n'arriva pas à remettre un nom et un visage sur cette voie, ce qui la mit mal à l' sur la défensive, elle s'approcha de son interlocutrice...jusqu'à qu'elle la distingue, elle reconnut la jolie frimousse d'Anaelle, avec ses traits fins et ses cheveux blonds, un peu ébouriffés. Anaelle!Lorsqu'elle prononça ce nom, son sang se glaça...Mélina se retrouvait face à ses démons...face à une autre de ses amies qu'elle avait mis de côté au cours de ses dernières mois, sans qu'elle leur est donnée la moindre explication...comme si un beau matin, elle pourrait revenir au Ministère...après quelques jours de congés. Elle n'était même pas revenue en personne chercher ses affaires au Ministère, elle avait envoyé son père, oui elle avait envoyé son propre père qui n'avait jamais remis les pieds, dans un haut du monde magique, depuis qu'il avait épousé sa mère. Vous vous doutez bien qu'il avait été retissant à y venir, mais Mélina avait tellement insisté qu'il n'avait pu refusé...ah que voulez-vous, son papa ne savait rien refuser à sa fille le moment, elle ne sut pas quoi dire, et son premier réflexe fut de regarder sa montre, elle se devait d'être à l'heure à son rendez-vous, les affaires n'attendent pas.... Cependant, elle ne pouvait pas simplement lui dire, quel plaisir de te voir, on s'appelle...mais là je dois te laisser...non, elle ne pouvait pas faire ça, elle se devait de faire face à son amie, même si elle risquait à juste titre d'en prendre plein la figure. Elle savait qu'elle serait moins virulente que Céleste, mais elle se doutait qu'elle ne se gênerait pas pour lui dire ce qu'elle pensait... à sa manière, elle se demandait, d'ailleurs, si elle y gagnerait au change par rapport à la chef des aurors. Comment mettre fin à cette situation très embarrassante pour l'ancienne chef des aurors. Surtout que Anaelle se trouvait à présent à quelques pas et qu'elle venait de lancer la conversation, par contre ses paroles furent brèves, apparemment, elle n'avait pas l'intention de faire un long monologue, au grand regret de la gérante qui devait à son tour ouvrir la bouche afin d'en sortir des sons, mais, cette rencontre lui avait couper le sifflet...honteuse de ne pas avoir donné de nouvelles à son amie, elle décida d'en rester oui, en effet, cela fait quelques temps qu'on ne s'est pas vu, ses derniers temps, j'ai beaucoup voyagé, je viens d'ailleurs tout juste de rentrer pour affaire, en parlant de ça, j'ai un rendez-vous important...je suis désolée, mais je dois te laisser, cependant, j’espère te revoir très vite, à nul que ça, tu meurs, le blabla de Mélina fut pitoyable et elle en avait parfaitement conscience...mais elle n'avait pas trouvé mieux et commença à s'éloigner d'un pas lent et Voilà , j'ai lancé la machine Invité Re Minuit, l'heure du le Dim 13 Nov - 105 Toujours debout, Anaelle ne brisa pas le silence qui s'était instauré entre les deux femmes depuis qu'elle avait parlé. Le silence était pesant et n'avait rien d'une retrouvailles, l'obscurité et le contexte étant les grandes causes de cette gêne. Son regard n'avait pas
AvecTellement Bling Bling, les gains sont très variés. Ils vont de 2€, le plus petit lot permettant de rembourser sa mise, jusqu’à 20 000€, soit sa mise multipliée par 10 000 ! Les lots suivants permettent de gagner 1000€ et 100€. De quoi offrir un ou plusieurs beaux cadeaux à ses proches. Les lots de consolation sont de 4€, 10€, 20€ et même 40€.
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Lentreprise ne peut malheureusement pas encore fournir l’offre pour toute cette demande, car les règlements des municipalités sont sévères et n’offrent pas beaucoup de marge pour faire construire de mini-maisons. « Le gros problème c’est que les municipalités imposent des dimensions minimales et des dimensions de façade qui
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La Très Très Grande Classe” : zéro pointé pour cette comédie embarrassante sur l’Éducation nationale. Article réservé aux abonnés 1 minute à lire. Samuel Douhaire. Publié le 11/08/22
Le réalisateur Ira Sachs Keep The Lights On, Love Is Strange était en Compétition à Cannes cette anéne avec Frankie, l’histoire d’une actrice Isabelle Huppert, dans une composition très intimiste atteinte d’un cancer qui réunit sa famille une toute dernière fois à Sintra, une station balnéaire portugaise connue pour ses miracles. On est toujours emportés par la sérénité et la délicatesse avec lesquelles Sachs traite des épreuves les plus douloureuses. On l’a donc fait réagir à des citations qui résonnent fort avec ce film inquiet mais lumineux. Sintra, là -bas! Glorieux éden, séjour céleste/Suivi sans fin de monts et de vallons/Mais quelle main saurait peindre ou décrire/Une moitié de ce que l’œil admire? » Lord Byron, Le Pèlerinage de Childe Harold, 1812 IRA SACHS Je me suis rendu pour la première fois à Sintra en 1979, pour y passer des vacances avec ma mère et mes deux sœurs. J’étais un adolescent qui découvrait la vie. J’y suis revenu sept ans plus tard, avec mon coscénariste Mauricio Zacharias. Il faut être patient pour toucher à la beauté de Sintra, il y a tellement de monde. C’est un peu cliché de le dire, mais il faut du temps pour vraiment découvrir ce que recèle un lieu. C’est intéressant parce qu’aucun personnage du film ne prête vraiment attention à Sintra, ils n’ont pas de lien personnel fort avec l’environnement. C’est parce que c’est avant tout un film de voyage chacun s’autorise à être une version différente de lui-même, ils sont presque sur une scène de théâtre. J’ai pensé le film comme une performance. C’est autant un film sur Frankie face à sa mort prochaine qu’un documentaire sur Isabelle Huppert face à ce personnage. Ma mise en scène est très spontanée, aléatoire et dictée par les circonstances, le décor et les acteurs. Par le possible, pour donner un terme plus générique.» Eric Rohmer, entretien paru dans Les Inrockuptibles, 1996 C’est drôle que Rohmer ait dit ça parce que, sous son apparente légèreté, sa mise en scène, que j’ai beaucoup étudiée, est extrêmement pensée. Mon directeur de la photo Rui Poças et moi sommes très inspirés par ses films, particulièrement ceux dont la photo est signée Néstor Almendros. Leurs images ont une vraie sensualité, une compréhension du plaisir visuel lié aux corps et aux couleurs. Et aussi un sens chorégraphique inouï. Mais Rohmer avait du temps pour préparer le tournage de ses séquences ; nous, nous n’avions que trois semaines pour tourner. Il fallait donc beaucoup planifier. En revanche, je n’organise pas de répétitions avec les acteurs. Je leur donne le texte pour les guider, mais je souhaite préserver leur improvisation émotionnelle. En général, il y a toujours quelque chose d’inattendu qui survient. Nous vivons à une époque où l’artiste est oublié. Il est un chercheur. Je me vois comme ça.» David Hockney, entretien paru dans The Observer, 1991 Cette citation sur l’artiste comme explorateur me fait penser à Isabelle Huppert. Je pense que la chose la plus importante pour elle, c’est d’être dans l’action, de prendre en charge une vraie part du processus de création des films. Elle a un rapport à la fois vorace et sincère à la culture, au cinéma, à la musique, au théâtre… Peut-être que ma position en tant que cinéaste est la même ce que je regarde, je veux le comprendre. Or le film traite de cette difficulté de comprendre quelqu’un qui, comme une icône inaccessible, vous met sans cesse à distance. Je me pose une question le film peut-il révéler cette part cachée et inconsciente du personnage de Frankie? J’ai en tout cas demandé à Isabelle d’autoriser le public à la connaître, d’être aussi simple et transparente que possible, d’essayer de ne pas se cacher derrière sa technique. La vie est ce que nous en faisons. Les voyages ce sont les voyageurs eux-mêmes. Ce que nous voyons n’est pas fait de ce que nous voyons mais de ce que nous sommes.» Fernando Pessoa, Le livre de l’intranquillité, 1982 J’aurais pu mettre cette citation en épigraphe du film. C’est une vraie chance de pouvoir regarder la vie avec d’autres perspectives que la sienne, et pour moi c’est ce que font les cinéastes. Ils sont le pont entre le visible et l’invisible. Le film part ainsi d’instants que j’ai vécus personnellement qui ont bouleversé l’idée que j’avais de la mort. J’ai vu une amie très proche mourir d’un cancer, et j’ai été très présent dans les trois dernières années de sa vie. Ce qui m’a frappé, c’est qu’il y a de la vie jusque dans les derniers moments de l’humour, de l’amour, du sexe. Le film parle de cette variété inattendue d’expériences. Mon travail consiste à trouver des liens entre les peuples, entre les personnes, à trouver les points communs, les ressemblances entre les êtres humains. La tragédie a alors la même signification pour tous.» Abbas Kiarostami, entretien paru dans L’Humanité, 2004 J’envisage cette recherche dont parle Kiarostami à travers ce qui est spécifique, et non universel. En tant que cinéaste, j’essaye d’être le moins général possible, d’être attentif aux différences. C’est notamment pour cela que je voulais faire un film au Portugal, parce que je n’en connais presque rien. L’universalité de votre propos, elle apparaît d’abord parce que vous êtes un bon artiste. C’est pour cela que je me bats pour un cinéma très personnel. Parce que dans un monde globalisé l’individualité se perd, l’émotion devient générique. Photographie d’Ira Sachs c Julien Liénard Images c SBS Distribution Frankie d’Ira Sachs SBS 1h38 Sortie le 28 août
1EfxXJ. 284 258 172 271 384 331 177 1 220
tres interesse ou pas tellement mots croises